Bons Baisers Dalabama

By Adelard Dore

Published on Jan 27, 2014

Gay

Bons baisers d'Alabama 4

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Les secrets du petit boudoir

« Après le départ de ma mère_ ainsi commença le récit de Charles_ mon père devint de plus en plus attentif à mes besoins et soucieux de compenser la perte affective de ma mère par une présence active de plus en plus grande. En plus de pourvoir à mes besoins en nourriture en s'adonnant à la cuisine et à mon confort général en s'occupant de mes vêtements et de mes jeux, il devint très vite plus qu'un père mais un grand frère. On jouait ensemble à toutes sortes de jeux de cartes et de société. On se lançait la balle. Il m'amenait à la pêche. On faisait des expéditions dans les bayous pour aller débusquer des alligators et toutes sortes d'autres activités amusantes. Il me faisait découvrir aussi tout l'univers de la Louisiane, de la vieille Louisiane, en me faisant parcourir le sentier des grands pirates de Barataria comme Jean Lafitte et Dominique You. Il me fascinait en me parlant aussi de mes ancêtres, les Acadiens déportés massivement du Canada par les Anglais entre 1755 et 1762 lors de cette cruelle opération de déportation que l'histoire a retenu sous le nom de `Grand Dérangement'. Il m'avait amené à Lafayetteville pour me montrer le vieux chêne d'Évangéline, héroïne du Grand Déplacement, qui avait attendu toute sa vie la venue de son beau Gabriel assise auprès de ce chêne. Dans cette histoire, Gabriel revêtait à mes yeux les traits de mon père et je me surprenais presque à me prendre pour Évangéline. Pour moi, mon père était le plus bel homme du monde, et je pense qu'il l'est toujours aujourd'hui. Il n'a que 35 ans. Comme vous l'avez remarqué, il est grand, mince, parfaitement musclé, rien de trop, tout simplement bien découpé. Ses cheveux noirs vifs et ses yeux bleus clairs rivés au fond de sa figure oblongue et allongée, lui donne un air exceptionnellement attirant et sensuel, un air de douceur et de tristesse aussi.

Après ma puberté, je me suis rendu compte que je ressemblais beaucoup à mon père. Je grandissais à vue d'œil, j'avais la même forme de visage, des cheveux noirs également mais avec des reflets roux, comme ceux de ma mère. J'avais cependant les yeux verts pâles à mi-chemin entre le bleu clair de mon père et le vert foncé de ma mère. Je me rendais bien compte que les filles de l'école, et les gars aussi parfois, me regardaient avec un air très spécial et un peu envieux. Des copains m'apprirent les plaisirs de la masturbation et ceux-ci devinrent mon occupation quotidienne et même plusieurs fois quotidienne.

À partir de cette période là, j'ai cessé de regarder mon père seulement comme mon grand compagnon de vie et le pourvoyeur de mes besoins. Il devenait aussi l'objet de mes désirs.

Les soirs où il s'enfermait dans son boudoir devinrent pour moi des moments terriblement excitants, mais frustrants aussi. Je croyais, étant plus jeune, qu'il s'enfermait là pour avoir quelques moments de solitude et de paix. Je ne doutais plus maintenant qu'il s'y enfermait pour faire la même chose que moi quand je me retirais dans ma chambre. Mais pourquoi avait-il besoin de tout ce décor. J'avais remarqué qu'il y avait des miroirs sur les murs de chaque côté de son boudoir. Enfant, je croyais que c'était pour donner l'impression que la pièce était plus grande. Maintenant, je devinais pourquoi. J'avais moi-même compris l'usage qu'on pouvait faire d'un miroir pour augmenter l'excitation.

Il y avait un grand miroir de commode au pied de mon lit. Il m'arrivait, tout nu, de me mettre à genoux, le cul en direction du miroir, de déposer mon front sur l'oreiller, de bien écarter mes fesses et de plonger un doigt dans mon cul tout en me regardant faire dans le miroir puisque mes yeux pouvaient voir entre mes jambes. Je me branlais en pointant ma queue vers le bas et vers l'arrière. C'était super excitant! J'imaginais que je donnais ce show là à mon père dans son petit boudoir et, surtout, j'imaginais que lui me permettait de voir ses propres jeux, semblables aux miens sans doute, mais tellement bandants pour moi qui le désirait si ardemment.

Deux ou trois fois j'eus la chance de voir mon père tout nu. Il avait oublié de prendre une serviette et il dut sortir de la salle de bain et traverser le hall pour venir en chercher une. Sa queue, je la revoyais dans mes fantasmes : longue, particulièrement grosse et large, enchâssée sur les plis de sa grosse poche contenant ses deux belles couilles. Je voyais ses poils fins sur la poitrine, les bras et les jambes. Et cette touffe de poils noirs et raides au-dessus de son pénis sur son ventre. Je voulais y plonger le nez et la face. Et surtout, je mourais de voir cette même queue bandée et de la sentir rouler sur mes joues.

Quand il décida que désormais, on n'aurait plus besoin de faire le tour de la maison pour récupérer les vêtements pour la lessive mais que chacun devrait les déposer sur un tas dans le hall, j'ai pensé que quelque chose de nouveau se passerait. Car depuis quelque temps, mon père ne me regardait plus de la même manière. Je le surprenais parfois à parcourir tout mon corps de son regard. Puis, il baissait la tête. Si le fait de ne plus venir dans ma chambre récupérer mes vêtements sales allait le priver de fantaisies, s'il en nourrissait à mon égard, le fait de mettre ses propres vêtements, et sous-vêtements surtout, à ma vue dans le hall, allait nourrir les miennes.

Dès les premiers jours, je volais ses chaussettes, ses t-shirts, ses slips et j'emportais tous ces trésors dans ma chambre en revenant de l'école. Je me permettais une superbe séance de branle en sniffant mes découvertes. La plus forte de ces découverte fut l'odeur de sa poche et de son cul dans le slip qu'il avait porté à son travail. C'était sa sueur intime, celle qui était rivée à ses secrets de boudoir. Je bandais comme l'acier et je jutais comme une fontaine. Je replaçais le tout au même endroit avant qu'il ne rentre.

Un matin, après ma branlette du levé, je me suis servi de mon slip boxer pour essuyer mon sperme et j'ai décidé d'aller le placer bien à vue sur le tas de linge sale. Il était tout gluant de ma récente décharge. Je voulais un peu impressionner mon père et lui montrer que j'avais une bonne usine de production. Sincèrement, je voulais aussi l'exciter.

Quelle ne fut pas ma surprise de constater en revenant de l'école que non seulement mon boxer avait été déplacé mais que le sperme n'avait pas eu le temps de sécher! Il avait disparu! Mon père avait-il bouffé mon sperme comme j'aurais tout donné pour bouffer le sien dans mes fantasmes? Mais je n'avais pas fini cette réflexion quand je vis le slip sale de mon père bien à la vue à quelques centimètres du mien. Je le pris délicatement et cérémonieusement comme une relique, et je l'examinai. Il contenait une bonne quantité de sperme séché. Tout devenait clair!

Il avait repéré mon slip tout imprégné de mon sperme chaud. Il avait bouffé mon jus et s'était masturbé dans son propre slip. Il l'avait ensuite placé près du mien sur le tas de linge. Mais alors? Souhaitait-il que je le trouve? Sans doute! Et alors? Cela voulait sûrement dire qu'il avait joui à bouffer mon jus, que je l'excitais mais qu'il ne pouvait pas le dire clairement. Il se servait de ce truc pour en venir aux révélations. J'ai donc décidé de provoquer les confidences.

J'ai pris son slip et je me suis enfermé dans ma chambre. Je me suis masturbé en le sniffant dans tous les coins et recoins et je l'ai déposé dans mon petit coffre au trésor sous une pile d'objets. Je me suis habillé et je suis allé me promener au parc Armstrong en laissant un mot que j'allais chez un copain. J'étais trop mal à l'aise. Je ne voulais pas le voir tout de suite. J'ai décidé de faire comme d'habitude en entrant et de ne rien laisser paraître. J'ai senti cependant que mon père n'était vraiment pas à l'aise lui non plus.

La nuit porta conseil. J'ai décidé de porter un grand coup. En me réveillant, je me suis branlé comme d'habitude, mais j'ai utilisé son slip de la veille pour essuyer mon sperme. Et la quantité était impressionnante. Juste avant de partir à l'école, j'ai déposé son slip là où je l'avais pris la veille, en sachant fort bien qu'il ne pouvait pas ne pas s'être aperçu de sa disparition et en imaginant tout le malaise qu'il avait dû ressentir en constatant justement sa disparition. J'étais très anxieux aussi de savoir qu'il allait trouver son slip plein de mon sperme.

Quand je suis revenu de l'école ce jour là, je fus surpris de voir mon père à la maison. Je lui ai demandé s'il était malade mais il me répondit simplement qu'il avait fini plus tôt. Étrange! Ça ne lui arrivait jamais de finir plus tôt, sauf quand il terminait un chantier.

En entrant dans le hall, j'eus un pressentiment en approchant du tas de linge sale. Bien en évidence sur le dessus, il y avait son slip, celui que j'avais placé là le matin même avec mon sperme et, juste à côté, un de mes boxers qu'il avait sorti de la pile. En approchant du tas de linge, une odeur de sperme frais me sauta au nez. Ce n'était pas cette odeur rance du linge sale ou du sperme séché. Ça sentait le « frais », le « chaud ». Rapidement, j'ai pris les deux sous-vêtements et je me suis enfermé dans ma chambre.

Assis sur mon lit, le cœur battant très fort, j'ai ouvert mon boxer et j'ai constaté qu'il contenait le sperme tout chaud de mon père. Voilà pourquoi il était revenu plus tôt. Il voulait me faire un cadeau pour mon retour de l'école. J'étais super excité et bandé comme ce n'est pas possible de l'être. J'ai arraché mon short et mon boxer et je me suis branlé comme un fou en léchant le sperme de mon père à grandes lapées. Après avoir joui, il me fallait bien trouver un stratagème et avoir du temps pour réfléchir encore un peu. J'ai placé les deux sous-vêtements côte à côte dans mon coffre au trésor que j'ai avancé sur la tablette pour le mettre en évidence et attirer son attention et j'ai écrit sur un petit papier que j'ai déposé sur les slips : « Papa, je t'aime »! Puis je suis sorti me promener en lui laissant assez de temps pour faire une recherche dans ma chambre et, je l'espérais de tout cœur, pour trouver mon mot dans le coffre.

En entrant, je me suis vite précipité vers le coffre. Wow! Non seulement il avait trouvé mon mot, mais il en avait placé un qui disait « et papa t'aime aussi Charly »! J'avais maintenant le temps de planifier le grand mouvement, celui qui devrait faire appel à une grande audace.

On a soupé comme d'habitude, mais il y avait de la tension dans l'air. Après le repas et la vaisselle, il s'installa dans son fauteuil comme il le faisait à chaque soir. J'ai profité de l'occasion pour aller chercher les deux sous-vêtements dans le coffre et je suis revenu dans la cuisine, le cœur me faisant des bons incroyables dans la poitrine.

J'ai pris son slip, je l'ai retourné et j'ai commencé à le sniffer tout en sortant ma queue et en me branlant. Il se retourna vers moi incrédule, les yeux exorbités! Je lui ai alors lancé mon boxer en lui disant quelque chose comme : `Fini les secrets et les mensonges! Je sais ce que tu fais dans ton boudoir depuis longtemps. Tu te branles comme je le fais dans ma chambre. Et tu sniffes mes boxers et tu jouis dedans comme je jouis dans tes slips sales et j'y respire l'odeur de ta poche et de ton cul. Alors, à partir de maintenant, ce que chacun faisait tout seul, on va le faire à deux... Allez! Sniffe mes boxers et branle-toi, Daddy! Je veux te voir te branler avec mes boxers.' Il resta immobile en tenant mes boxers dans la main. Il était comme paralysé. Après une ou deux minutes de ce mutisme, je me suis levé, je me suis mis à genoux devant sa fourche et j'ai détaché sa ceinture. J'ai baissé sa fermeture éclair, j'ai sorti sa queue que j'ai sentie à plein nez, que j'ai léchée avec tendresse et que j'ai sucée avec énergie et passion. Elle était magnifique! C'était une pièce de musée, mais de musée vivant. Bandée, elle faisait neuf pouces sans doute. Elle était droite et foncée avec un beau gland qui la coiffait. C'était le Pérou! Le reste, il a dû vous le raconter ».

Le récit de Charly, bien que semblable à celui de son père, avait relancé mon érection. Je lui ai demandé alors de me raconter ce qu'ils firent dans les jours suivants et les semaines suivantes.

Il me raconta que, pendant des semaines, ils s'abandonnèrent à des plaisirs de voyeurs. Leurs rapports étaient essentiellement des jeux de voyeur pour découvrir le corps de l'autre et voir dans la réalité ce que chacun avait imaginé et souhaité voir de l'autre durant longtemps qui, dans sa chambre à coucher, qui dans son petit boudoir secret.

«À la fin de notre masturbation commune ce jour-là dans nos fauteuils de cuisine, on a établi communément la règle que désormais, il n'y avait plus de cachette. Les portes de nos chambres, celle de son boudoir et celle de la salle de bain devaient rester ouvertes. Si on avait envie de se branler, on le faisait porte ouverte, à la vue de l'autre. Même pour chier, on ne devait pas fermer la porte. J'avouai à mon père que j'avais souvent fantasmé sur lui assis sur le cabinet. Quand il prenait plus de temps que d'habitude, je croyais qu'il jouait avec sa queue et j'avais l'impression qu'il me cachait des images importantes de sa vie quotidienne. Il m'avoua que lui aussi avait déjà eu des fantasmes quand il me savait assis sur le cabinet.

Notre vie changea complètement. Quelques soirs semaine, mais surtout les vendredis et samedis, on passait la soirée dans son boudoir à jouer avec nos corps. Dès le mercredi, on se disait qu'il fallait éviter de se branler pour que le plaisir soit plus intense le vendredi soir.

Ces soirs-là, après la vaisselle du souper, on se retirait dans son boudoir. Chacun y entrait avec une fantaisie vestimentaire pour l'autre : mon père portait parfois un jock- strap, moi un maillot de bain Speedo très ajusté qui laissait voir le moindre détail de mon pénis à demi-bandé. Parfois, on récupérait en passant un slip sale porté quelques jours, ce qui expliquait, me dit Charly, que ça sentait toujours un peu le linge qui faisandait quand on traversait le hall (j'avais déjà remarqué en entrant) et on sniffait l'intimité de chacun dans les slips tout en se masturbant. Ou encore, on se sniffait directement et on se léchait en prenant toutes sortes de positions cochonnes.

On regardait des flips pornos et on faisait des commentaires cochons qui nous excitaient l'un l'autre. Entendre mon père, assis à côté de moi, crier à un personnage de film porno : `Écarte tes fesses! Montre-nous ton cul comme il faut! C'est ça, lèche-le! Allez! Charly et moi on veut te voir le fourrer jusqu'au fond de son trou'... tout cela représentait pour moi une extraordinaire complicité avec mon père que jamais je n'aurais pu rêver vivre si intensément.

J'avais cessé d'appeler mon père « Daddy ». Je l'appelais Antoine, par son prénom. Parfois, au milieu d'un film, je lui disais : ` Antoine! Laisse-moi sentir ton cul!' Docilement, il se mettait à quatre pattes, continuait de regarder son film pendant que je me mettais derrière lui et me régalais de son odeur secrète. Je finissais toujours par lui lécher le cul, ce qu'il adorait. Parfois, c'était lui qui voulait que je me branle dans sa figure, qui demandait de lécher ma poche et mon cul en me faisant bien écarter les jambes. À chaque fois, il me disait combien de fois il avait joui en imaginant un moment comme celui-là avec moi, surtout depuis qu'il s'était rendu compte que je devenais un beau jeune homme, sexé et séduisant. Quand j'étais plus jeune, il se branlait en fantasmant surtout sur ses camarades de travail sur le chantier.

Puis, on ajouta des jouets à nos jeux. Il acheta d'autres godes et m'apprit à m'en servir. Il m'aida à dilater mon cul. Sa petite armoire de boudoir ne contenait plus de secrets pour moi désormais. J'y pigeais sans gêne un gode, des cock-rings, des harnais de cuir, des strings très fins, des poppers et même un peu de marihuana dans un petit sac. Antoine et moi, on devenait délirant sous l'effet de l'herbe. On se masturbait tous les deux devant un miroir l'un à côté de l'autre, un doigt dans le cul et même deux en s'arrêtant pour sniffer des poppers. On jutait alors sur le miroir de longues giclées épaisses et glissantes. Il m'apprit à me sucer moi-même. On pratiqua souvent pour assouplir nos dos. On s'aidait l'un l'autre. Presque à la même période, on pouvait se sucer, l'un à côté de l'autre (autofellation), enfoncés sur les tapis moelleux du boudoir, la tête coincée dans les coussins, les jambes par-dessus la tête, un doigt dans le cul en se regardant par moment l'un l'autre dans les yeux pour se dire combien on était bien ensemble et que personne d'autre ne nous donnerait autant de plaisir que nous-même en compagnie de l'autre.

On prenait parfois notre douche ensemble et on se lavait mutuellement dans tous les petits coins. Il n'y avait plus de secret aucun, comme je vous l'ai dit. On pissait parfois ensemble et on joua à se pisser dessus l'un sur l'autre et même à boire notre urine et celle de l'autre.

Il est même arrivé qu'on se regarde chier. C'est lui qui me regarda faire une première fois, debout dans la salle de bain, contemplatif et rêveur. Au début, ça me mettais très mal à l'aise mais je me suis rappelé notre entente et, quand j'eus terminé, il me demanda pour m'essuyer comme quand j'étais enfant. Il m'avoua que c'était un fantasme de torcher son fils devenu adulte. C'en était un bien plus grand de torcher mon père. Aussi acceptai-je sa demande à la condition qu'une autre fois ce soit mon tour. Ce moment vint une semaine plus tard après souper. Il alla aux toilettes. Je le vis s'asseoir sur le cabinet et j'eus envie de satisfaire ce fantasme. Il comprit ce que je voulais en me voyant approcher. Ça le fit bander très fort. Je lui ai demandé de se masturber devant moi pendant qu'il chiait. Au début il me regardait dans les yeux, mais je lui ai commandé de se regarder la queue, de jouer avec ses couilles et de ne pas lever les yeux sur moi. Quand il a joui, j'ai recueilli son sperme dans ma main, j'ai approché ma main de sa bouche et je lui ai demandé de bouffer son sperme dans ma main. Il m'obéit sans protestation. Je lui ai dit ensuite de se pencher car c'est moi qui allais le torcher. Il m'obéit encore. Vous allez dire que c'est fou ce que je vous raconte là et très scato...mais ce fut un très grand moment d'intimité entre nous et on le répète encore à l'occasion, très rarement, mais à l'occasion.

Voilà! J'ai presque tout dit, sinon que depuis que j'ai dix-sept ans, (j'avais 15 ans quand on a échangé nos slips pour la première fois), il nous arrive maintenant de faire l'amour complètement. Je le pénètre ou il me pénètre lentement et longuement. On a apprit à faire durer le plaisir entre nous et nos samedis et nos vendredis sont toujours aussi passionnants. Je ne veux personne d'autre qu'Antoine dans ma vie et lui non plus je crois, sauf une compagnie divertissante pour nous deux à l'occasion ».

Il me dit ces derniers mots avec un sourire et un air de sous-entendu. Quand je lui ai demandé comment ils s'étaient retrouvés au Health Club de la rue Baronne, il me dit qu'il allait chercher son père et que c'est lui qui allait me raconter cela. Mais il revint avec lui et s'assied à ses côtés durant cette autre conversation. Il apporta aussi des bières pour nous trois.

À suivre...Épisode 5 : Un film dans le film

Alexandre

Next: Chapter 5


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