Ma Vrai Vie 001
Ma Vrai Vie 001
Si le sexe ou l'amour entre garçons d'âges variés n'est pas votre truc, ou si les lois de votre état / pays ne vous permettent pas d'être là, vous savez ce que vous avez à faire.
Si vous le pouvez, donner à NIFTY, pour que l'on puisse continuer à profiter de cet espace de liberté.
If gay sex or gay love between boys of various ages is not your cup of tea, or if your state / country laws don't allow you to be here, you know what you have to do.
If you can, give to NIFTY, so that we can keep on enjoying this place of freedom.
Karim
C'est le 1° soir où j'ai les clés du nouvel appartement. Déjà tout seul. J'ai pas vu passer l'heure, et maintenant, il est tard, presque nuit, plus de bus, ce qui veut dire : dormir là, mais dormir par terre, sur la moquette (le déménagement est que la semaine prochaine) ou rentrer à pattes. Je décide d'aller faire un tour dehors. La nuit est douce. Je fait le tour de la petite résidence où je vais bientôt habiter, puis je continue un peu et je reviens en passant devant le collège. J'habiterai juste derrière. Très peu de monde, pas de circulation à part un scooter de temps en temps, ça sent vraiment les vacances. En longeant le gymnase qui est collé à côté du collège, j'aperçois un banc qui tourne le dos aux terrains de basket grillagés. Juste sous un réverbère. Une fois assis, en tournant à peine la tête vers la gauche, je peux voir notre balcon et l'une de nos chambres.
J'en suis là, perdu dans mes pensées de déménagement et de nouvelle vie quand ce mec sort de nulle part. En fait, je l'ai pas vu arriver.
· Salut.
· salut, je dit en le regardant vraiment.
Il doit avoir genre 20 ans, 1,70 mètre, beau mec, un rebeu bien musclé en pantalon de survêt foncé, marcel blanc et claquettes. Un joli visage de beau gosse, cheveux mi-longs, pas rasé.
· T'es nouveau ici, je t'ai jamais vu.
· Je suis pas d'ici.
· Oh c'est pour ça... il a dit avec un petit sourire.
En fait, il sourit de longue et en faisant attention je me demande si il est pas un peu bourré, vu qu'il a l'air d'osciller un peu. Du coup, je lui sourit aussi. Il y a eu un blanc et il a mis les 2 mains dans les poches de son survêt.
· et ça te plait ici ?
· Ouais ça va, c'est pas mal on dirait.
J'ai l'impression qu'il était en train de s'astiquer la queue de manière pas trop discrète en me regardant. Dans mon jean un peu petit la mienne commençe à s'agiter et ça doit se voir et je ne peux pas faire grand chose pour empêcher ça.
· ça te dit ? Il fait en passant maintenant ses 2 mains de manière évidente sur sa queue.
· Hein, quoi ? Je réponds tout ne pouvant m'empêcher d'essayer de remettre la mienne en place.
· Viens... il a répondu en s'éloignant de là où je venais, vers le gymnase.
Je le suis des yeux, commençe à comprendre, mon cœur bat comme un fou. Arrivé à la limite où le grillage rejoint le mur du gymnase il a disparu derrière une haie. Je suis comme paralysé, l'envie de sexe submergeant tout.
· Allez, viens ! sa tête a fait d'une voix sourde en ressortant de la haie.
Je sais pas comment je suis arrivé à me lever et à me diriger vers cette haie à peine à 20 mètres. Arrivé là, je remarque qu'il y a un espace qui permet de se faufiler derrière. La haie est tellement touffue que je le vois même pas.
· J'suis là, fait sa voix.
Je lui rentre presque dedans et maintenant c'est clair, je sens qu'il a pas mal picolé le gars. Ses mains m'attirent à lui et de suite sa bouche vient se plaquer contre la mienne, sa langue force le passage, je sens l'alcool, mais aussi autre chose, plus acre. Ses mains sont sur mon cul, elles essayent de rentrer dans mon jean, mais il est trop serré, une main fait le tour pour faire péter le bouton et descendre la braguette, je sens aussi sa bite qui pousse contre la mienne. Mon pantalon ouvert, il peut enfin passer une main dans mon boxer. Pendant ce temps, je suis le mouvement, sauf qu'il a un survêt alors c'est plus facile. Je m'aperçois que sa bite est déjà dehors, alors je baisse un peu plus le survêt et commence à le branler d'une main en le caressant de l'autre. Sa bite est pas très longue, mais épaisse, circoncise et déjà bien mouillée. Très vite, il s'écarte et me laisse respirer.
· Tu me suces et après je te le fais, dac ?
Dans le peu de clarté qu'il y a, je vois qu'il sourit toujours. Pour toute réponse, je descends à genoux. Je sens sa queue, elle sent un peu la pisse, le jus et la transpi mais rien de trop.
· Allez, vas-y !
Je commence par lui lécher le gland, récupérant au passage plein de jus et d'odeur. C'est ma 1° pipe, j'essaye de me souvenir comment il faut faire, j'avale sa grosse bite en essayant d'utiliser ma langue au maximum, ce qui n'est pas facile vu la grosseur, cacher les dents aussi. En même temps, je lui caresse les boules, qui paraissent énormes et bien pendantes et les fesses.
· Vas-y, lèche moi les boules !
Je m'exécute, les prenant chacune dans la bouche, elles sont vraiment énormes en fait. Je regarde un instant son visage, il a les yeux fermés mais toujours le même sourire, je pense qu'il est complètement défoncé en fait le keum... en même temps, je me branle doucement de la main gauche, pas trop parce que je sens que c'est pas loin. On continue comme ça pendant un moment, j'ai repris sa bite dans la bouche et j'alterne avec les couilles, je sens la sueur couler le long de mon dos, et ses mains qui depuis le début n'ont pas cesser de me caresser le crâne ; j'essaye de lui caresser un peu le ventre pour changer mais il repousse ma main et la plaque sur ses fesses.
· Putain, je vais gicler ! Il fait. Je n'ai pas trop le temps de me demander quoi faire que ses mains me tiennent la tête et une giclée me remplie la bouche, suivit d'une deuxième, je lutte un peu pour pas tout avaler et je recule un peu et les deux autres passent mieux, je sens le goût du foutre un peu acre, ça me rappelle des souvenirs. Il lâche enfin ma tête, j'en profite pour tout laisser tomber de ma bouche, je sens que j'en ai sur le fut et je continue à le sucer jusqu'à ce qu'il m'écarte gentiment.
· Allez, à toi il me fait en me relevant. Je m'adosse contre le mur, je sens sa chaleur et décide de remonter mon t-shirt sur le ventre pendant qu'il s'agenouille et d'un coup, baisse jean et boxer jusqu'à mes genoux. Je sens un peu d'air frais passer, j'apprécie et ça se voit, ma bite saute en l'air juste avant qu'il l'engloutisse d'un coup. C'est trop bon, j'avais oublié ça... en plus j'ai l'impression que le mec est un pro, il fait ça super bien, il monte et il descend en jouant avec sa langue, je sens ses doigts descendre le long de ma raie et s'arrêter juste là. Son autre main est sur mes couilles qu'elle malaxe fermement mais doucement. Je me laisse aller contre le mur tiède à toutes ces sensations, j'entends un voiture passer au loin et des voix et les slurps de mon suceur, un grésillement électrique, des grillons, je suis assez bien là mais déjà je sens un fourmillement, une énergie arriver de tout en bas, je dis : « attention !Č et je jouis dans sa bouche, c'est violent, mes pieds battent le sol, je me cramponne à sa tête, je sens mon jus sortir, une fois, deux, quatre, cinq jets puissants... il me suce encore un peu et dis :
· putain mec, t'en avait besoin il fait. Puis il se redresse, la queue à moitié dure encore dehors, le sourire aux lèvres mais un air moins ailleurs.
· C'est clair... je dis, encore un peu dans ma jouissance.
· Bon, faut que j'y aille dit-il en remontant son survêt. Au fait, tu t'appelles comment ?
· William, je réponds en baissant mon t-shirt presque trempé.
· Moi, c'est Karim, il ajoute et déjà il est de l'autre côté de la haie. J'entends ses pas s'éloigner et je reste là, contre ce mur, encore quelques minutes avant de me décider à sortir.
Je m'aperçois que j'ai vaguement faim, mais que c'est pas dans l'appart' vide que je risque de manger. Une centaine de mètres plus loin, après avoir galéré un peu avec les clés je rentre dans mon nouveau chez moi où il fait vaguement frais. Après m'être passé de l'eau par la figure, je vais dans la chambre côté collège, ouvre la porte-fenêtre et à travers les volets entrouverts essaye d'apercevoir la haie mais un paquet d'arbres entre l'immeuble et les terrains de basket m'en empêchent.
J'ai quitté mes baskets en entrant dans la chambre et je m'assoie contre un mur, enlève mes chaussettes en repensant à ce qu'il vient de se passer. À présent allongé sur la moquette, ma main plonge vers ma queue déjà (toujours?) dure, j'ouvre le jean que je baisse un peu et la main dans le caleçon je commence à me branler doucement puis très vite furieusement en me repassant les images et les sensations. Très vite j'explose dans mon caleçon et je m'endors quasi-instantanément, la main toujours entre les jambes.