Ma vraie Vie 003
Si le sexe ou l'amour entre garçons d'âges variés n'est pas votre truc, ou si les lois de votre état / pays ne vous permettent pas d'être là, vous savez ce que vous avez à faire.
Si vous le pouvez, donner à NIFTY, pour que l'on puisse continuer à profiter de cet espace de liberté.
ps: j'espère que cette fois-ci le formatage sera bon, si c'est le cas, je re-publierai les précédent chapitres afin qu'ils soient enfin correctement lisible. merci pour votre patience.
If gay sex or gay love between boys of various ages is not your cup of tea, or if your state / country laws don't allow you to be here, you know what you have to do.
If you can, give to NIFTY, so that we can keep on enjoying this place of freedom.
Thomas (thomas.teller@gmx.com)
P.S. I do hope this time formatting will be correct, in this case I'll republish the previous chapters so that they can be read correctly at last. thank you for your comprehension.
Romain 2
Plus tard, il se lève pour aller pisser, je m'assois sur le canapé. J'ai soif. Il a allumé la lumière de l'entrée.
T'as pas soif ?
Si, qu'est-ce que tu veux ?
De l'eau c'est bon je peux y aller.
Nan, j'y vais. Et quelques instants plus tard, il revient avec 2 verres d'eau, la queue à moitié dure. J'allume pas parce que je sais pas si les voisins apprécieraient...
dommage... ils ont tord.
On boit tous les 2 en silence, moi en parcourant son corps du regard, avec les ombres de la lumière distante, et lui, les yeux fermés. Il ouvre les yeux, me regarde :
putain, ça fait du bien quand même...
oui, carrément !
Une douche ?
Une douche ! Je réponds en restant assis alors qu'il se dirige vers l'entrée. Il se retourne.
Ben viens !
J'arrive ! Je fais en me levant. (Une douche à deux !)
La salle de bain n'est pas très grande mais il y a une chouette cabine de douche, pas trop grande mais design avec un pommeau de douche géant et un motif de vague sur le verre.
Pas mal la douche !
Ouais, le dernier truc de mon père... je me suis toujours demandé comment ça donnerait à 2 ! sourire.
On entre, il referme la porte vitrée, on est serré juste ce qu'il faut. Sympa ! L'eau commence à couler, elle super froide, du coup on se serre machinalement l'un contre l'autre. Puis l'eau devient tiède, puis un peu plus chaude.
Ça va comme ça l'eau ? il fait.
Pour toute réponse je commence à le caresser avec l'eau, en fermant plus ou moins les yeux, ce truc est géant, on se croirait sous la pluie. Il répond à mes caresses, nos bites sont à nouveau super dures, c'est bon. Puis il réduit l'eau au minimum, après quelques tâtonnements seul un filet d'eau s'écoule et il prend la bouteille de gel douche, m'en verse dans la main, en met dans la sienne et on reprend nos caresses, on détaille le corps de l'autre, il caresse la cicatrice sur mon biceps gauche, un bisou et on continu, j'aime ses fesses et ses jambes musclées par ce que je devine être des heures de pratique du skate, on fait la même taille en fait, sauf que je suis vraiment maigre, mais ça a pas l'air de le gêner. Il reprend du gel douche et ses mains s'attardent sur mes fesses, il les malaxe, les caresse, je fais pareil, on est collé l'un à l'autre, joue contre joue avec ce petit filet d'eau qui tombe quelque part sur nos têtes.
Tu t'es déjà fait prendre ? Il demande tout bas.
Non, je fais trop fort, alors je répète doucement, non.
J'aimerai bien essayer...
Dans quel sens ?
Plutôt le faire, tu vois...
Ses doigts s'affairent sur mon anus, encore un peu ouvert de notre session sur le canapé on dirait. Je remonte le long de son dos, je lui caresse et lui tourne la tête pour l'embrasser. On le fait mais pas trop longtemps et il dit :
on se rince ? Je fais oui de la tête, et l'eau revient totalement, on se caresse, avec l'eau, ça fait un drôle d'effet, sensuel et... autre chose. Je le rince comme je ferais pour moi, en insistant bien sur son entrejambe et il fait pareil, je sens l'eau pénétrer un peu mon trou, il pousse toujours avec deux doigts et quand il finit par les enlever, une drôle de sensation, un peu de manque. Ça fait un moment qu'on doit se rincer, nos bouches sont à nouveau soudées mais l'eau commence à être de plus en plus froide. On se sépare finalement, il arrête les robinets, ouvre la porte et attrape une serviette.
Attends, je vais t'en prendre une. Serviettes en mains on s'essuie en se regardant, sourires échangés.
Il part un instant, bruits de fenêtres et de volets à l'autre bout de l'appart' et il revient.
Puis dans la grande salle, on se dirige vers la chambre de gauche, à poil. Elle est juste éclairée par une lampe de chevet. C'est la première fois que je fais ça, du coup je m'arrête.
Viens, il fait. Il monte sur le lit et s'allonge sur le dos. C'est un lit une place. Je m'allonge à côté de lui.
C'était cool, je lui dit.
Ouais... il semble un peu distant. On dort ?
Dac... il éteint.
Le réveil sur la table de nuit indique minuit passé en chiffres verts. Même sans la lampe, entre le réverbère dehors dont la lumière passe à travers les volets mi-clos, les chiffres du réveil et une veilleuse dans la grande pièce, j'arrive à voir autour de moi, un poster au mur, des photos posées sur la bibliothèque, pas beaucoup plus. Je repense à tout ce qu'on vient de faire, au bien que ça fait. Je me repasse des détails, me demandant si j'arriverai à les dessiner, sans doute que oui. Romain bouge un peu, je sens sa chaleur contre ma peau, je me demande comment on va réussir à dormir l'un contre l'autre. Je m'aperçois que on ne sait rien l'un de l'autre, que ça ne me gêne pas trop. Je crois... j'ai du m'endormir parce que le réveil dit qu'il est 3 heures passées maintenant. Je suis sur le dos, une jambe et un bras de Romain sur moi. Il y a très longtemps que je n'ai pas dormi avec quelqu'un dans mon lit, pas depuis... longtemps. J'ai soif, j'ai envie d'aller au chiottes, alors je me lève doucement en reposant ses membres sur le lit délicatement. Puis sans me cogner, je passe dans le coin cuisine boire au robinet, puis au wc où je commence par pisser avant de faire le reste. Je m'essuie bien, longuement, je passe du pq sous l'eau dans la salle de bain pour être sur que c'est bien propre. Je m'aperçois que mon doigt rentre sans problème, deux pas sûr mais un oui. Je suis bien réveillé maintenant, la bite en l'air. Machinalement je tire la chasse. Ça fait du boucan, j'espère que ça va pas le réveiller. Je repasse dans la chambre, il est tourné vers moi, les yeux ouverts on dirait.
Ça va ? Il fait.
Oui désolé, j'ai pas réfléchi, je fais, devant lui, la bite encore un peu raide. Je crois qu'il la regarde.
Pas grave, faut que j'aille pisser.
Il se lève et me frôle. Je m'assoie sur le lit et j'écoute. Quand il revient, un moment plus tard, je crois que sa bite a commencé à grossir. Je me pousse pour le laisser monter sur le lit, il s'allonge sur le côté gauche, passe sa main sur mon dos. Je me laisse glisser sur le lit. On est l'un contre l'autre, je sens sa queue dans la raie de mes fesses, il passe son bras par dessus moi et me serre contre lui. Sa main s'attarde sur mon téton qu'il caresse, je lui répond en poussant mon bas ventre dans le sien et en agrippant sa cuisse avec ma seule main disponible, nos jambes s'emmêlent, je sens son souffle puis sa langue sur ma nuque. On respire plus fort maintenant, l'excitation nous gagne vraiment. J'essaye de tourner un peu la tête pour l'embrasser, il se penche et j'ai l'impression qu'il veut avaler ma langue. Je pousse encore mon bassin contre le sien, il passe son bras gauche sous moi, c'est pas facile et me plaque contre lui. Sa bite semble encore grossir, je sens son jus, j'en ai plein les fesses. Il glisse sa bite entre mes cuisses maintenant, je sens mes couilles se tremper, j'essaye d'agripper nos 2 queues que je branle ensemble un peu avant qu'il se remette le long de mes fesses. J'en profite pour lécher ma main, juste 2 coups. A ce moment un de ses doigt pénètre mon anus, comme ça. Il le fait coulisser une fois, deux fois et ma seule réponse c'est de pousser. Son doigt sort, puis je le sens rentrer à nouveau, immédiatement suivi d'un deuxième. Il veut les faire coulisser eux aussi, mais c'est un peu plus dur, plus désagréable pour moi, je m'avance instinctivement, alors il les ressort un peu, je sens sa bite posée à côté de ses doigts, il semble jouer avec elle, puis je comprends. Un instant plus tard, un puis deux doigts rentre plus facilement. Après quelques instants il commence un mouvement de va-et-viens. Je gémis très fort, cette nouvelle sensation est cool en fait, il se penche à nouveau par dessus mon visage et on s'embrasse, je gémis dans sa bouche, les va-et viens se font rapides puis s'arrêtent. Ses doigts se retirent.
non, c'est bon, continue stp' je dis
t'inquiète...
Et je sens sa bite qui pousse et le gland rentre d'un seul coup. Mais c'est quand même plus gros que ses 2 doigts. Je le sens passer. Il veut pousser, alors je dis :
atta 2 minutes dac' ? J'ai besoin de m'habituer un peu.
Ok, il répond en me pinçant le téton tout doucement. On reste comme ça un moment, je touche ma bite qui est devenu toute molle, je commence à me branler un peu et elle recommence à grossir et je sens que ça va mieux, alors je me recule un peu contre lui.
Il fait pareil dans son sens, c'est un peu dur à passer, il a pas lâché mon téton, qu'il pince de plus en plus fort, ça me fait bizarre dans tout le corps... puis d'un seul coup, ça y est, il est complètement en moi. Il veut déjà commencer à bouger, alors je pose la main sur sa cuisse et il stoppe. Putain, il est rentré à fond, c'est bizarre comme sensation. Je crois que j'aime assez ça, je sens ma bite tendue comme jamais. J'enlève ma main de sa cuisse.
ça va ? Il dit.
Oui, ça va, vas-y.
Alors tout doucement il se retire un peu avant de rentrer à nouveau... oula là ça commence à être bon ! Il recommence, et encore et encore, j'ai l'impression d'être en feu, chaque fois qu'il entre complètement ça déclenche un truc en moi, dans mon ventre, terrible... on est complètement trempé de sueur, je la sens ruisseler sur mon ventre, dans mon dos mélangée à la sienne. Il fait des « hu, mhm mhu hu » pendant que je grogne. Une ou deux fois, il sort complètement la queue et doit la remettre : à ce moment là je sens comme un vide qui dure pas. Je sens venir la jouissance, je voudrais la repousser, j'ai arrêter de me branler pourtant, mais ça vient de plus loin et au moment ou je la touche, j'explose ! Je donne des coups de bassin, je sers sa cuisse de ma main, je sens mon trou se resserrer sur sa bite et je crois que c'est à ce moment là qu'il jouit :
Putain oui ! Oui ! Oh putain... il grogne aussi...
J'ai l'impression que je sens son foutre gicler en moi, il donne des coups de bassin terrible, 4 ou 5 et puis on reste là, tout les 2 dans les restes de notre jouissance... on reprend notre souffle difficilement. Il enfonce son visage dans mon cou, je prends ses bras et les mets autour de moi, il me sert doucement. On entend juste notre souffle maintenant, j'ai pas envie de bouger je crois, je sens sa queue qui doucement se retire mais pourtant on reste comme ça et on s'endort.
Plus tard, j'ai du mal à bouger et j'essaye de me tourner mais je manque de tomber. Je sens comme un courant d'air frais du côté des fesses, je me remets sur le dos, Romain est sur son côté droit. Je me demande vaguement ce que ça fait, si les sensations sont aussi bonnes. Puis je me rendort.
Plus tard encore, il fait jour dans la pièce, un téléphone sonne quelque part. S'arrête. Sonne à nouveau quelques temps plus tard. Le réveil indique presque 10 heures.
Romain se réveille, contourne le lit et va répondre. En fait c'est son père, qui après avoir essayé de le joindre sur son portable a décidé de l'appeler sur le fixe. Il a oublié un truc, il veut que Romain le rejoigne en ville pour le repas et lui ramener. Je me lève et file aux chiottes. Fait plusieurs pets vaguement liquides et pisse. Avant de tirer la chasse, je m'aperçois que c'est son foutre que je viens d'expulser. Je retourne dans la chambre et je m'aperçois que les draps sont dans un sale état : sur les draps bleus (?) clairs on voit là où j'ai giclé et là où son jus a du s 'écouler de mon trou pendant la nuit... il arrive à ce moment là, je lui montre du doigt les traces et il sourit :
t'inquiète, je les lave souvent, j'ai l'habitude, je mouille pas mal...
oui, j'avais remarqué !
Tu m'aides ?
Pendant que je défais les draps, il en sort d'autres de l'armoire et en deux-deux le lit est propre. Je vais chercher mes affaires dans le salon : mon boxeur est dans un sale état lui aussi, avec une grosse tâche devant, je le récupère, ainsi que le sien et mon short. De retour dans la chambre, je lui tends son caleçon et il le jette dans un coin sur une pile de linge, et de son sac ouvert contre le mur, en tire un propre. Il me regarde le regarder, mes affaires à la main.
Il a vécu le tien aussi, tu veux que je t'en prête un ? (je hausse les épaules)
tu vas pas être juste ? Je sais qu'il ne reste qu'une semaine chez son père...
nan, t'inquiète, on en a acheté l'autre jour. Il sort un sac d'un magasin de vêtements. Tiens, prends celui qui te plait, il rajoute en m'envoyant un paquet de trois, un rouge, un blanc, un noir. Vas-y !
J'ouvre le paquet, prends le premier, c'est le rouge, lui renvoie le paquet et le passe. Niquel !
T'as pas faim ? Je demande.
Si, tu veux pas prendre une douche avant ?
Non, c'est bon j'en prendrai une taleur...
Du coup, on va manger, céréales et café instantané. Je meurs de faim en fait. C'est rare. Je pense que tout ce sexe qu'on a fait, ça m'a donné faim. Après on range un peu, il jette un coup d'oeil à l'heure et on commence à s'habiller. Je lui propose de l'accompagner au bus mais il me dit que c'est bon. On se sépare au bout de la rue, en se disant « à plus ». J'ai pas fait 10 mètres qu'il m'appelle et reviens vers moi.
Au fait, merci ! Il dit avec un sourire gêné.
Ben nan, merci à toi ! Je souris.
Nan, tu sais... pour cette nuit je veux dire... tu vois...
oh, je dis en comprenant, ça... c'était cool, vraiment.
T'es mon premier tu sais...
mec tu veux dire ? (il fait oui de la tête) toi aussi, enfin j'veux dire, pour ça...
Maintenant on a tous les 2 l'air gêné... je sais pas trop quoi lui dire...
enfin voilà quoi...
on en reparle plus tard ?
Dac, (il a l'air soulagé) oui, a tout'
a tout' je réponds et ce coup-ci, on part chacun de notre côté.