Cette histoire est une fiction qui concerne du sexe entre deux adultes mâles consentants. Si vous n'êtes pas d'accord avec le sujet, ne la lisez pas. Mais si ça vous intéresse, je suis ouvert a toute remarque ou suggestion.
This story is a fiction about sex between two consenting adult males. If you disagree with the subject, don't read it. But if you're interested, I'm open to any comments or suggestions.
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PANIQUE AU PORT
Quel ennuis de se retrouver dans une ville inconnue qui, en plus, est un port industriel sans grand intérêt ! Dès la nuit tombée, les rues se vident et les bistrots se remplissent. Après avoir bu une bière dans un local bruyant remplis de mecs désoeuvrés qui n'ont que ce lieu pour fuir leurs femmes grincheuses et leurs gosses criards, je me balade le long des rues l'?il aux aguets, au cas où un mec serait dans le même cas que moi.
Mes pas me mènent au port qui n'a rien de rassurant, tant il y a de coins sombres entre les piles de containers, de caisses et de fûts rangés, entre des baraques sinistres. Après avoir longé le bord de l'eau, je m'apprête à retourner sur mes pas lorsque le vois la silhouette d'un homme solitaire assis sur une bitte d'amarrage. Je m'approche doucement en espérant que la lueur du réverbère près de lui me permettra de mieux le voir.
Plus je m'approche, plus je vois ses traits. Il est brun avec une barbe de quelques jours. Son T-shirt et ses pantalons sales me font penser qu'il doit être un matelot ou un docker. Il fume une cigarette en regardant la mer. Lorsque je suis assez près, je m'arrête et frotte mes semelles sur le sol pour attirer son attention. Il tourne la tête et me regarde pendant quelques secondes puis retourne à sa contemplation de la mer. Au bout d'un moment, je change de place et passe de l'autre côté du mec en faisant le même manège mais il ne manifeste pas plus d'intérêt.
Moi qui avait espéré tomber sur un matelot en manque de femme, je suis déçu et je m'apprête à rentrer lorsque je vois quatre types arriver. Leur allure ne m'inspire pas confiance et je vais lentement vers le fond du port tout en regardant ce qui se passe. Ils se sont approchés du solitaire et discutent. Je m'arrête à l'ombre d'un container et observe le groupe. Soudain il me semble qu'ils parlent de moi car je les vois tourner la tête de mon côté. Ca ne me dit rien de bon et je repars droit devant moi en pressant le pas.
Avec des rires et des cris incompréhensibles les cinq types viennent rapidement dans ma direction. Maintenant je cours en espérant trouver une échappatoire dans ce port que je ne connais pas. Ils courent derrière moi. Je les entends m'invectiver :
- Pédé ! - Lopette ! - On va t'la couper?
Je suis désespéré et cherche des yeux une sortie latérale. Un passage s'ouvre sur le côté, je m'y enfile mais il semble mener vers une voie sans issue. Je distingue une baraque dont la porte est ouverte. Je m'y engouffre et pousse la porte derrière moi. En retenant mon souffle, j'entends les types s'engager dans le passage. Ils crient toujours et leurs propos sont peu rassurants. Ils passent devant la baraque et s'éloignent. Je m'apprête à sortir lorsque je suis assailli par derrière. Un bras solide me ceinture le torse et une grosse main se plaque sur ma bouche.
- Bouge pas ! grogne une voix rauque.
Je suis fait comme un rat, ces types ont certainement des copains planqués dans tous les coins. Celui-ci va les appeler et vu le lieu où je me trouve, je n'ai plus de possibilités de m'échapper.
-
Comme ils te trouveront pas ils vont revenir fouiller dans le coin, reprend la voix. Je suis paralysé, autant par la peur que par la force de ce mec qui me tiens serré contre lui. Sa main sur ma bouche m'étouffe et je respire difficilement par le nez. La peur me fait transpirer et la sueur coule sur tout mon corps. Après moins d'une minute les voix des types se rapprochent de nouveau.
-
Il doit être par là. - On n'a qu'à fouiller partout.
En tremblant je les entends remuer les caisses et frapper contre les containers. L'un d'eux désigne la baraque mais un autre le retient.
- Pas la peine, ici c'est plein de bordel.
Si le type ne me tenait pas si fort, je tomberais tellement mes genoux tremblent. Des pas approchent. Un mec pénètre et nous retenons tous les deux notre souffle. Il fait quelques pas et se heurte à quelque chose. Il pousse un juron et donne un coup de pied.
- Sors de là, pédé ! crie-t-il
N'ayant aucune réaction, il ressort en laissant la porte ouverte. Dehors les mecs continuent à tout remuer aux alentours en poussant des cris et des jurons.
A force d'être plaqué contre le type derrière moi, je sens quelque chose durcir contre mes fesses. Mon doute s'efface rapidement : ce mec est en train de bander ! Du coup mon mental part à la dérive et je me sens bander aussi. Très doucement je remue les hanches pour voir sa réaction. Il ne dit rien et même je le sens pousser son bassin contre mes fesses. En fuyant ces types j'étais loin de m'imaginer que je trouverais un mec dans l'obscurité d'une baraque.
Dehors les voix vont et viennent. Ils sont de plus en plus enragés de ne pas me trouver. Le mec ne relâche pas son étreinte contre mon torse mais sa main s'écarte lentement de ma bouche. Sa voix grave et rude me souffle dans l'oreille :
- Si tu fais un bruit, ils reviennent et là?
Pas besoin de me faire un dessin. Sa main descend sur ma braguette et la tâte. Il palpe sans douceur ma gaule qui se gonfle rapidement. Le type grogne et soupire de plus en plus fort. Sans lâcher mon torse, il ouvre ma ceinture et dégrafe mon jeans. Péniblement il descend mon froc et s'aperçoit que je ne porte pas de sous-vêtement.
- T'es une salope ! souffle-t-il à mon oreille.
Sa grosse main malaxe ma bite et triture mes couilles à m'en faire mal. Je soupire de plus en plus fort en me tortillant pour échapper à cette torture.
- C'est bon de t'les travailler? grogne-t-il
Je ne réponds rien et je cherche toujours à me dégager de cet inconnu qui m'excite certes mais qui commence aussi à me faire flipper. Il me serre si fort que je commence à étouffer. Maintenant je devine qu'il ouvre sa braguette et qu'il sort péniblement son engin de son froc. Sa bite chaude et dure caresse mes fesses. Je l'entend cracher dans sa main et la passer sur sa gaule.
- Mouille ton cul si tu veux pas avoir trop mal, grommelle-t-il.
En hâte je crache dans mes doigts et les passe sur ma rondelle et j'y reviens une seconde fois avant qu'il ne m'embroche. Son gland chaud pousse contre ma rosette. Je l'aide en poussant de mon côté. Il soupire sous l'effort. Pour me soulager de la douleur qui me prend, je pousse de plus en plus fort. Soudain, il entre d'un coup et je lâche un grognement de douleur quand il me défonce le boyau.
- Ta gueule ! murmure-t-il
Il reste un instant planté profondément en moi, probablement surpris d'être rentré si vite. Puis il me soulève, tourne sur lui-même et me repose en poussant mon torse en avant.
- Appuie-toi sur le mur, souffle-t-il.
Il me force à me cambrer et me tient pas les hanches pour me bourrer le cul. Sa gaule est sans doute de belle taille car je la sens bien glisser sur ma prostate pour aller taper au fond de mon boyau. Il retient son souffle tout en remuant avec lenteur comme s'il appréciait ce moment. Ses coups de reins sont profonds et quand sa gaule me défonce, je sens la toile de son froc toucher mes fesses. Ce salaud a sorti juste le minimum pour prendre son plaisir.
Dehors les éclats de voix s'éloignent un peu, ce qui fait baisser ma tension. Maintenant je me concentre sur le pieu qui m'embroche et commence à me faire du bien. Je bande comme un cerf et j'ai bien envie de me toucher. En dégageant une main, je palpe ma gaule arquée comme une banane. Le mec a deviné ce que je fais et il repousse mon bras pour prendre lui-même ma bite en main. Ses doigts râpeux m'enserrent fermement et vont et viennent avec la même lenteur que son chybre dans mon cul.
- Prend ton temps? laisse le jus monter, murmure-t-il.
Soudain les voix se rapprochent de nouveau et s'arrêtent devant la baraque. Mon c?ur accélère et derrière moi le mec ne bouge plus. Mon anus serré sent son chybre palpiter. Nous entendons un type s'approcher. Il donne un grand coup de poing dans la porte ouverte et crie :
- On va t'crever, sale pédé !
Puis il s'en va et les voix s'éloignent. Derrière moi le mec pousse un léger soupir et reprend ses lents coups de reins. De mon côté je sens que j'ai bien perdu de ma bandaison tant la peur m'a glacé. En me concentrant sur le mandrin qui va et vient entre les bords serrés de mon anus, j'arrive à me sentir de nouveau excité. Le mec a sensiblement accéléré la cadence de ses coups de reins et me pilonne le cul a grand coups de hanche lents et réguliers. Ma queue a repris de la vigueur et bat dans le vide. Le mec la reprend en main et passe ses doigts rugueux sur mon gland.
- Putain, tu mouilles, souffle-t-il à mon oreille.
Il se met à me caresser le gland, ce qui me met dans tous mes états. En même temps que des frissons parcourent ma bite, je cambre mes reins pour que le mec puisse mieux me pénétrer. Je suis aux anges et j'apprécie d'autant plus le pilonnage régulier et profond dans mon boyau. Le mec doit aimer tout autant car je l'entend soupirer de plus en plus fortement. Maintenant il me bourre à une bonne cadence et de légers spasmes me prennent tout le périnée.
- Putain c'est bon, soupire-t-il, ça va pour toi ?
J'acquiesce dans un souffle car mes couilles commencent à se resserrer à la base de ma bite, signe que je ne vais pas tarder à jouir. Le mec respire pas saccades et donne des coups de reins de plus en plus forts. Dehors les pas reviennent et s'arrêtent non loin de nous, ce qui nous fait arrêter tout mouvement. Nous entendons les types discuter entre eux. Ils enragent de ne pas m'avoir trouvé.
- Putain, j'lui aurais bien arrangé l'portrait, dit l'un. - Ouaih, on lui aurait fait passer l'envie d'venir nous draguer.
Après quelques propos haineux ils se disent que j'ai dû trouver un passage pour m'enfuir et décident d'aller se consoler en buvant un coup. En entendant les pas s'éloigner, le mec derrière moi pousse un soupir.
- Les cons, grogne-t-il, j'allais jouir !
D'un coup il s'accroche à mes hanches et reprend ses va et vient à une cadence rapide. Son mandrin m'agace la prostate et me fait rapidement bander comme avant. Les coups de son bassin contre mes fesses m'excitent tout autant que sa bite qui me défonce. Mes couilles remontent à la base de ma queue. Le mec retient son souffle et ne sort plus qu'à demi pour s'enfoncer au plus profond. Son souffle est court et ses mains se crispent sur mes hanches.
- Merde ! lâche-t-il soudain.
Il reste planté au plus profond de mon boyau et jouit en râlant doucement. De mon côté, je me branle aussi vite que je peux pour libérer la tension qui est montée dans mon bas-ventre. Quand le mec relâche son étreinte, je joui à mon tour. J'entends les giclées de mon foutre s'écraser contre la parois et tomber sur le sol. Après toute la tension qui m'a étreint, mon plaisir est total et chacune des contractions de ma queue est une libération. Le mec n'est pas sorti de mon cul et attend que mes spasmes se calment. Quand enfin nous nous séparons, il me dit à voix basse.
- Si j'm'attendais à baiser en venant fouiner dans cette baraque ! - Moi, c'est la première fois que je me suis fait baiser sans voir par qui?
Sa voix grave et rauque n'est pas désagréable et j'espère que j'aurai l'occasion de voir à la lumière celui qui m'a fait prendre mon pied. Je m'essuie le cul avec des kleenex et remonte mon jeans en serrant les fesses pour ne pas laisser échapper le foutre dont je suis rempli. Dans l'obscurité je cherche la voie vers la sortie. C'est le mec qui me pousse dans le bon chemin. Arrivé dehors, je regarde de tous les côtés pour m'assurer que les types n'y sont plus.
En me retournant, je vois le mec en pleine lumière. Je ne suis qu'à moitié surpris. Il est à peine plus grand que moi mais nettement plus musclé. Vêtu d'un T-shirt sombre et d'un treillis urbain, il a les cheveux clairs coupés façon commando, un bouc bien taillé et un visage carré avec des mâchoires saillantes. Il doit être au début de la trentaine. En me souriant, il me serre la main.
- Moi c'est Boris et toi ?
Je me présente et il m'invite à boire un verre avec lui. Je trouve plutôt amusant de faire l'inverse du processus de drague. D'habitude : on se voit, on boit un coup et après on baise. Là, on baise, on se voit et après on boit un coup.
Boris m'entraîne le long du quai en sens inverse tout en restant attentif au moindre mouvement. Auprès de lui, je me sens plus rassuré que si j'avais dû rentrer seul en risquant encore une mauvaise rencontre. Chemin faisant il me raconte qu'il est originaire des pays de l'Est et qu'après 10 ans à la Légion Etrangère il s'est installé dans ce port pour travailler comme docker. Les types qui m'ont poursuivi sont des journaliers qui travaillent peu et passent leur temps libre à boire et à chercher la bagarre.
Quand je lui demande la raison de sa présence dans cette baraque, il me r épond qu'il constatait l'état de ce bureau abandonné parce qu'il envisage de le louer pour se mettre à son compte.
- Une visite dans l'obscurité? lui dis-je avec un air sceptique.
Il sort une torche puissante d'une de ses poches et m'explique qu'il l'a éteinte lorsqu'il a entendu la poursuite et ne l'a pas rallumée pour ne pas attirer l'attention des voyous.
Nous arrivons au bout du quai et le mec continue tout droit au lieu de se diriger vers la ville. Après tout il connaît peut-être un bar éloigné du centre. Arrivés dans un quartier fait de petites maisons de pêcheurs, il s'arrête devant l'une d'elles et sort ses clés. L'invitation était pour chez lui, ça change la donne?
La maison est petite et correspond bien à un ancien militaire. L'ordre y est parfait et rien de dépasse. Les mur sont décorés de photos et d'objets de l'armée. Boris m'offre un alcool fort et nous nous installons dans un grand canapé. Il me parle de l'armée, de ses frustrations sexuelles au milieu d'hétéros machos qui n'imaginent pas qu'un homme puisse en désirer un autre. De récits en souvenirs, le mec se rapproche de moi jusqu'à me coller. Ses mains carrées courent sur mes cuisses jusqu'à ce qu'il se taise et me fixe. Dans son regard, je vois son désir. Il pose son verre et m'invite à me lever.
Boris me conduit à l'étage où se trouve sa chambre à coucher. Cette fois nous n'avons pas besoin de nous cacher, ni de nous dépêcher. Il prend tout son temps pour me déshabiller et se mettre nu à son tour. Notre envie se transforme en excitation et nous nous roulons longuement sur le lit en découvrant le corps de l'autre. Outre le fait qu'il est un paquet de muscles, Boris est doté par la nature d'un engin que j'ai déjà reçu en moi mais dont je peux maintenant admirer les belles proportions.
- Tu l'aimes ma queue, hein ? Elle t'a bien ouvert tout à l'heure? - C'était pas agréable au début mais tu as su me la faire apprécier.
Comme nos envies les plus pressantes ont été satisfaites un moment avant, Boris entend bien profiter de cette deuxième fois pour prendre et donner du plaisir par tous les moyens. La découverte de nos corps nous a permis de trouver les points les plus érotiques chez l'un et chez l'autre. En fait tout le corps de Boris est érogène, autant pour lui que pour moi. Je constate que sa pilosité blonde tire sur le roux. L'odeur de mâle qui se dégage de tous ses pores a l'effet d'un aphrodisiaque sur mes sens.
Je commence à lui travailler la pointe des seins avec ma langue. Je les titille, les lèche, les mordille, les absorbe pour le plus grand plaisir de Boris, qui profite de ma position pour me masser les couilles. Puis je passe à ses dessous de bras qui sentent bon la sueur fraîche consécutive à son récent exploit. Je lessive sa pilosité abondante, ce qui le fait se tordre en gémissant. Puis il me repousse et se jette sur moi pour me travailler les tétons avec un peu plus de vigueur que je n'en ai eue pour lui. Ca me met dans tous mes états et j'en redemande.
- Oui? c'est bon ! Vas-y? - J'savais qu't'es une salope, me répond Boris.
Il ne se fait pas prier pour alterner caresses de la langue et morsures plutôt fortes. Puis il passe à son tour sous mes bras tandis que je caresse son mandrin qui palpite dans le vide. Ses couilles sont grosses et lourdes, je les palpe et les fait rouler dans mes doigts. Boris est chaud comme une bête en rut. en même temps qu'il me fait des choses agréables, il souffle comme un taureau. Maintenant il absorbe ma queue toute entière jusqu'aux poils. Son arrière gorge chatouille mon gland et ça me fait vachement de bien. En même temps il tient mes couilles et les tire tant qu'il peut. Comme c'est un de mes points érogènes, je râle en le suppliant de ne pas arrêter. Il tire de plus belle en me pompant de plus en plus rapidement.
- T'aimes te faire brutaliser, remarque-t-il en levant la tête, moi ça m'plait bien.
Quand il me lâche, je me glisse sous son corps pour absorber son barreau. Il a compris et me baise la gueule à fond. Je sens son gland glisser entre mes amygdales et je pousse ma langue le plus loin possible à la base de son pieu. Boris me pilonne la bouche jusqu'à ce que je suffoque. Quand il se retire, je prend ses couilles dans ma bouche. J'ai de la peine à les faire entrer toutes les deux mais en les poussant avec mes doigts j'y arrive. Le mec marque son plaisir par des profonds grognements.
- Oh putain ! Tu fais des choses qui font du bien? soupire-t-il
Quand il se soulève, je prend dans ma bouche ses poils qu'il a drus. Je me régale du goût de sueur et d'excitation qu'ils exhalent. Boris retombe sur son dos et je me mets en devoir de lécher tout son corps, de la racine des cheveux aux doigts de pied. Il se laisse faire en soupirant d'aise. Quand je suce ses orteils, il se tord et remue sans que je sache si ça le chatouille ou si il aime ça. En remontant, je glisse mon visage entre ses cuisses et cherche à atteindre son trou de balle. Alors il se soulève, me couche sur le dos puis s'assoit sur mon visage. Je peux alors lécher le pourtour de son anus et y faire pénétrer ma langue, ce qui lui plaît énormément à en juger par les grognements qu'il pousse. Pendant ce temps il a repris mes couilles dans sa main et tire dessus comme s'il voulait me les arracher. J'en suis aux anges et redouble d'ardeur sur son anus. Finalement il se redresse et me dit :
- Maintenant on va passer à d'autres jeux.
Il fouille dans le tiroir de sa table de nuit et en sort un long ball stretcher silicone qu'il installe sur mes couilles. Ca me tire très fort mais j'aime. Lui-même se met un cockring aussi en silicone qui enserre la base de son sexe, ses couilles d'un côté et sa bite de l'autre. Ca la fait paraître encore plus grosse. Ensuite il sort un flacon de lubrifiant et s'en enduit la queue puis essuie ses doigts sur mon cul. Agenouillé sur le lit, il tire mes fesses à la hauteur de son sexe pour me pénétrer en pointant son regard droit dans mes yeux. Comme il m'avait déjà pris dans des conditions moins détendues et qu'il y a laissé de quoi lubrifier mon boyau, son chybre pénètre sans difficultés jusqu'au fond. Je le sens à l'étroit dans mon cul, glisser contre ma prostate et pousser contre le fond.
- Ouaahhhh? il est vraiment bon ton cul? lâche-t-il dans un soupir.
Comme tout à l'heure, Boris bouge lentement et prend son temps pour laisser son plaisir monter graduellement. Alors que dans la baraque, je ne savais pas qui me baisait, maintenant je peux voir son visage et lire le plaisir dans ses yeux. Ma queue est de nouveau arquée sur mon ventre et laisse perler une goutte claire au bout du gland. Ca me fait un bien fou de sentir son pieu défoncer mon boyau tandis que son ventre frappe mes fesses et mes couilles bien serrées. Au bout d'un moment il sort et se redresse.
Maintenant je suis à plat ventre et Boris s'est mis tête-bêche sur moi. Il me baise en repliant sa bite en arrière. Elle est tellement dure que je la sent frotter sur ma prostate et défoncer ma vessie. Ses pieds sont à la hauteur de mon visage et je tente de les lécher mais il est tellement concentré sur son action qu'il ne réagit pas. Boris sort de nouveau brutalement de mon cul pour me remettre sur le dos et me pousse les jambes derrière ma tête pour me faire lever le cul.
- J'vais faire mes pompes, annonce-t-il
Il se place au dessus de moi, appuyé sur ses bras tendus et s'enfonce de tout son poids dans mon boyau. Je sens son noeud me défoncer le fion et ses poils gratter mon anus irrité par tant d'entrées et sorties. Dans cette position, le mec me pilonne le cul rien qu'à la force de ses bras. Ma queue bave des filets de liquide clair, j'ai l'impression qu'elle va exploser tellement je suis excité. Lorsqu'il se sent fatigué, Boris se retire et se couche sur le dos.
- Viens t'embrocher sur mon pieu.
Je ne me fais pas prier et m'empale d'un trait. Les poils drus de son pubis grattent mon anus irrité. Bien appuyé sur mes genoux, je monte et descend en appréciant le puissant ramonage de mon boyau. Ma queue tendue à l'extrême ballotte au grès de mes mouvements en lâchant des fils de bave claire tandis que mes couilles prisonnières du ball strecher tapent sur son ventre pour mon plus grand plaisir. Ce traitement me fait un tel effet que je suis obligé de m'arrêter pour ne pas atteindre le point de non-retour. Boris en profite pour me repousser et il se redresse pour me remettre sur le dos, les jambes relevées sur son torse.
- J'veux jouir en t'regardant prendre ton pied, explique-t-il
Après m'avoir embroché une nouvelle fois, Boris se penche de plus en plus contre moi en gardant mes jambes par-dessus ses épaules. Sa gaule va et vient dans mon anus avec un mouvement lent et profond. Mes couilles sont écrasées contre son pubis. Je sens qu'il est bord de jouir et qu'il se ménage.
- J'peux plus tenir, le dit-il, branle toi pour qu'on jouisse ensemble.
Je suis aussi excité que lui et je sens que la tension est montée à son maximum dans mes couilles. Quoi qu'il en soit, je m'active et le plaisir de sentir le mandrin de Boris remuer en moi fait monter ma sauce plus vite que je ne l'aurais pensé. Lorsque tout mon bas-ventre se contracte, je le lui fais savoir. Il n'a pas cessé ses lents va et viens dans mon cul en me fixant droit dans les yeux.
- Vas y, lâche toi, enjoint-il dans un souffle.
Je devine qu'il en est au point de non-retour et après quelques va et vient rapides, je balance ma purée en grognant de plaisir. Boris donne alors quelques grand coups de bassin contre mes fesses en râlant sans retenue. Il reste longtemps à décharger, planté au plus profond de mon cul, la tête relevée et les yeux fermés. Peu à peu, il reprend son souffle tandis que ma purée coule le long de mes côtes. Je cherche à la retenir.
- Laisse, me dit Boris en souriant, ça me fera un souvenir de toi.
Quand il se retire, j'ôte prestement le ball stecher qui commence à me faire mal et je me précipite à la salle de bain pour me vider car en deux fois, le mec a largué tant de foutre dans mon cul que ça commence à déborder. De retour dans la chambre, je trouve Boris allongé sur son lit, le regard dans le vague, en train de fumer. Nous passons un moment étendus l'un contre l'autre à savourer le plaisir ressenti puis je me rends compte de l'heure tardive et me lève pour m'habiller.
-Qu'est-ce que tu fais ? Reste?
- Il faut que je rentre, demain je m'en vais de bonne heure.
Boris regrette que je ne puisse pas passer la nuit avec lui mais ma mission est terminée et je dois retourner à mon point d'attache. Alors il décide de m'accompagner à mon hôtel pour m'éviter des mauvaises rencontres. Chemin faisant, Boris me dit que si je reviens, je dois obligatoirement loger chez lui. Cette perspective me plait. J'ignore si mon patron m'enverra de nouveau dans cette ville mais maintenant j'ai une bonne raison pour venir y passer quelques congés?