Sophie prêtresse de la sodomie - I
Bonjour, je m'appelle Jacques et ma femme s'appelle Sophie. C'est une femme incroyablement sexy. Une belle silhouette, un ventre plat et des fesses à faire courir un curé. J'ai goûté pas mal de femmes avant Sophie, mais je dois vous dire que cette femelle a le cul le plus excitant du monde. Nous avions tous les deux un appétit sexuel vorace et une libido extrêmement intense mais Sophie avait un petit truc en plus : elle adorait la Sodomie. Elle m'avait raconté l'histoire de son viol anal des années plus tôt[1]. Une découverte qui avait changé sa vie... et la mienne. Chance, j'adorais moi aussi.
Nos jeux de mains, et plus encore, faisaient de chacun de nous un objet sexuel tantôt male, tantôt femelle. Pour elle c'était toujours une expérience fabuleuse. Sophie en faisait chaque fois l'occasion d'une rencontre passionnée. Nous tentions d'expérimenter des jouets et des plugs pour l'habituer à se faire sodomiser. La dilatation de son anus était incroyable. Elle était prête à s'ouvrir au plus gros plug anal, elle n'avait aucun problème à s'ouvrir. Son anus était capable d'absorber des sexes de type Centaure sans difficultés. L'idée même de sentir un sexe dans son cul la faisait mouiller, d'ailleurs elle portait volontiers son plug pour aller travailler
Nous étions en pleine action dans notre salle de bains. Se penchant complètement en avant Sophie revint brutalement s'empaler à fond sur ma bite. J'adore quand elle est sauvage comme ça. Je restais immobile alors qu'elle allait et venait en essayant de me faire jouir. Mais je savais durer dans son cul. Pourtant ce n'était pas facile car elle me massait la bite avec son rectum. Je sentais son excitation couler sur mes jambes alors qu'elle commençait à trembler à mesure qu'elle se rapprochait de l'orgasme.
« Putain que c'est bon ! » a-t-elle crié en se relâchant sur moi. J'ai senti son plaisir qui me serrait le sexe alors que je me laisser aller à mon tour. Je sentais son urine sur mon ventre qui accompagnait chaque fois nos jeux dans la salle de bains. Je l'ai laissé un bon moment dans son extase humide. Comme moi, Sophie aimait cet instant ou on se lâche, le temps suspendu, le ventre satisfait, les fantasmes rangés au placard. Car nous en avions des phantasmes. On en avait à vendre.
Nous avons coupé l'eau, nous nous sommes séchés et dirigés vers la chambre pour nous habiller. Sophie m'a proposé de sortir avec son plus gros plug anal dans le cul pour notre dîner. Avec son sourire diabolique, elle s'est agenouillée en levrette sur le bord du lit avec son cul en l'air et a juste : « Oui chéri cochon, que dirais tu de me mettre ce joli plug dans mon cul ? »
Elle était là, avec son joli tabernacle qu'elle s'amusait à ouvrir en accentuant l'ouverture de ses fesses pour m'exciter. J'avoue, j'étais encore épuisé de notre échauffourée dans la salle de bain. Mais rien ne m'empêchait de gouter au fruit défendu. Me laissant tomber à genoux derrière elle, j'embrassai doucement ses deux fesses bien rondes. Je savais qu'elle adorait la sensation de mes lèvres qui se glissaient dans sa raie, de ma langue qui fouillait son œillet bien propre. Cela réveillait chaque fois son côté chienne en chaleur.
Elle avait la tête et les épaules à plat sur le lit et son entrejambe exposé à ma lubricité. Je me suis engouffré dans sa chatte avant de remonter sur son œillet qu'elle s'amusait à fermer et ouvrir dans l'attente d'accueillir son plug. Mais je n'avais pas envie de me presser. Je savais ma gourmande prête à mieux.
Lentement mais sûrement, après lui avoir largement mouillé son petit trou avec ma langue, j'ai commencé à la lutiner de mes doigts. C'était toujours un sacré spectacle. Au fur et à mesure que j'introduisais un, puis deux et trois doigts, elle soufflait de plus en plus fort gardant ses fesses écartées pour m'inviter à continuer d'investir son cul. J'étais installé profondément dans son rectum et son gémissement aurait réveillé le quartier si nous n'étions pas installés loin du voisinage. Elle savait que mes doigts étaient en train de chercher son fameux point G. Un truc invraisemblable. Les orgasmes de ma Sophie passaient par sa porte de service... et quels orgasmes !
"Oh putain bébé, c'est bien", cria-t-elle alors que je lui ouvrais un anus si souple qu'il se dilatait sans efforts ni douleur. Elle continuait à gémir. « Bébé, je te veux dans mon cul. »" Pas le moment ma belle... ouvres toi, sésame de mes plaisirs infâmes ! ». Je riais.
Elle se tenait comme une chatte en chaleur. La croupe relevée, la tête et la poitrine enfoncées sur le lit et moi brandissant le plug de la soirée. Bref, l'ambiance était à la fête, le fête du cul ! Elle était tellement mouillée que, derrière elle, faisant courir la tête de ma bite encore molle le long de sa chatte j'ai pu entamer un début de coït. Mais je n'avais pas lâché mon plug que j'ai commencé à lui glisser dans les entrailles. Elle a roucoulé alors que je glissais son plug au fond de sa rectum. Enfoui en elle, je l'ai baisée avec le plug et avec ma bite en elle. Je pouvais sentir le mouvement du plug sur ma bite.
Une fois de plus nous nous sommes demandé ce que ce serait si nous avions un autre homme avec nous pour la baiser dans le cul pendant que je lui baisais la chatte. En faisant glisser complètement le plug, j'ai attrapé ses hanches et j'ai commencé à enfoncer ma bite qui se réveillait dans sa chatte. "Oui bébé oui, c'est ça, baise-moi".
Nous aimions baiser lentement. Sophie voulait ressentir chaque mouvement et j'étais juste l'homme qui lui donnait exactement ce qu'elle voulait. Sa main s'est portée sur son clitoris alors que la tête du plug frappait son point G. et Sophie de s'envoler ! C'était chaque fois impressionnant. Ces orgasmes étaient de véritables feux d'artifices. Ce soir la Sophie me repoussa avant que j'éjacule puis se retourna sur le lit. Elle voulait que je m'achève dans sa bouche. Mon sexe restait propre mais l'idée de me le sucer augmentait son goût de la luxure, son phantasme d'une sodomie ou son petit cul bien rond restait le réceptacle de nos sensations, de notre façon d'aimer le sexe.
"Donne-moi ton plaisir, mon putain d'amour cochon", m'a-t-elle dit avant de m'attraper les hanches pour amener ma bite dans sa bouche. Ma Sophie adorait avaler mon sperme chaque fois qu'elle en avait l'occasion. Elle savait que ma bite était devenue sensible après nos précédents ébats. J'allais sauter en l'air, cela l'amusait ? MMMMM, fredonna-t-elle ? Je voyais la main de l'insane se branler le con avec vigueur pendant qu'elle me vidait de mes dernières forces. La soirée risquait d'être éreintante eu je le temps de penser alors que mon corps se vidait de mon reste d'énergie tout en se tordant de plaisir,
Puis elle m'a regardé avec ce regard vicieux qui justifiait son succès auprès des hommes. "La prochaine fois, mon vilain chéri, c'est moi qui irai visiter ton joli popotin « m'a-t-elle prévenu. J'ai juste souri et hoché la tête, oui. Moi aussi j'aimais ça !
A suivre
Sophie prêtresse de la sodomie - II
Mes premiers "éveils sexuels", mes premières expériences pendant mon enfance s'étaient produites avec des hommes. A l'époque je n'avais pas connu la sodomie comme je la pratique aujourd'hui. On s'amusait avec la tuyauterie en découvrant le goût de l'autre. Des jeux stimulants notre jeune libido et alimentant notre tête de vilaines pensées. Comme j'avais en même temps conscience de mon attirance pour les filles, j'accordais peu d'importance à ma fascination pour les hommes. Paradoxalement c'est Sophie qui m'a déniaisé.
J'avais trente-quatre ans lorsque j'avais fait la connaissance de Sophie. Ma future épouse était une femme d'abord réservé mais ne manquant pas d'humour. Nous avions l'un et l'autre un tempérament espiègle mais très vite de confidences en confidences nous nous sommes découverts une appétence pour le sexe et des jeux interdits. Nous adorions nous faire des misères en nous tripotant le cul. L'affaire a démarré très gentiment. Au début de notre relation, un soir un peu éméché, Sophie m'a montré sa porte de service en exigeant une visite urgente. Notre vie sexuelle a pris un virage décisif ! Ce soir-là ses doigts ont été aussi fureteurs que les miens. Nous avons joui le nez dans nos fesses respectives largement ouvertes pour les cunnilingus et autres privautés délicieuses.
J'ai vite compris que, jolie de partout, Sophie était toujours à la recherche de plaisirs sexuels et toujours ouverte à des audaces particulières. La sodomie était le centre de nos plaisirs et les mignardises qui allaient avec. Petit à petit nous avons envisagé d'ouvrir notre couple à un partenaire sodomite aussi doué que nous pour le plaisir anal. En attendant nous avons pris de l'avance.
Sophie n'hésitait plus à me sucer en m'enculant d'un doigt puis deux alors que je sentais le plaisir monter en moi. Cela l'excitait terriblement. Elle lubrifiait ma rondelle, enduisait un de nos godes en me prenant en levrette. Selon son humeur la taille du sex-toys allait du petit membre vibrant à un chibre d'un bon diamètre qui me dilatait l'anus. Elle aimait. A défaut, c'était ses doigts qui s'emparaient de mon fondement. En général cela commençait par des câlins osés de sa langue dans ma rosette qu'elle enfonçait aussi profond que possible.
J'avais développé avec Sophie une forme de sexualité, la sodomie, qui ne me déplaisait pas. J'y prenais un immense plaisir à me faire enculer par mon épouse. Je me branlais. Elle satisfaisait également mon épouse qui se plaisait à me répéter que j'aimais cela, que j'étais sa petite salope. Nos râles emplissaient la chambre. Je finissais par jouir et chaque fois je devais lécher mon propre sperme pendant qu'elle me branlait le cul en me traitant de petit homo.
Au fil des jours, j'avais pris du plaisir à ce cérémonial. C'était purement cérébral. Vicieux. Cela me permettait aussi de comprendre pourquoi Sophie aimait tant que je l'encule même si je n'étais pas innocent en matière de cul. Dès les débuts de notre relation j'ai pris goût aux plaisirs sodomites de Sophie.
Un soir elle m'avait raconté sa mésaventure et son viol anal. Contrairement à ce que j'aurais pensé, plutôt que la traumatiser, ce souvenir lui mettais le « feu au cul ». Aussi, ensuite, nous avons baisé une bonne partie de la nuit comme des sauvages. Cette nuit-là, elle m'a fait une démonstration de sa capacité à absorber un god Centaure lorsqu'elle était en chaleur.
Sans doute stimulé par la chose, je lui ai raconté une expérience datant de ma vie de jeune homme lors de mon stage à l'armée. Nous étions des tentes de six mecs. Nous étions partis dans un bar local. L'alcool nous rendait bavards... et libidineux. A force d'être trop bavards et saouls, certains d'entre nous ont décidé de revivre les bons moments. Nous nous sommes retrouvés sous la tente pour nous sucer allègrement et sans pudeur. Les plus audacieux, le pantalon baissé, avaient la bite à la main ... moi ce soir-là j'étais un suceur. J'ai pris au moins trois giclées cette nuit-là. J'étais terriblement excité. La demande de Sophie me renvoyait à ce souvenir troublant et à l'image d'un de nos potes qui a accepté de se faire pendre devant nous. Je me souviens de ses gémissements alors qu'il se faisait défoncer le fion. Il s'appelait Éric.
La vie est capricieuse. Je retrouvais Éric bien plus tard dans le train qui m'amenait sur Limoges. Au début on a été assez peu disert et puis ... bref il me disait retourner chez son père ... en rajoutant que durant les deux jours à venir il serait seul. Il m'invitait, pas de doute. J'étais dispo. Mon caleçon recevait le message « cinq sur cinq » comme on dit à l'armée. A mon âge on aime l'aventure... je vivais déjà seul et accepter sa proposition, ne me posait pas de problème.
J'ai invité Éric au restaurant, lui avait le projet d'aller au cinéma ensuite. D'abord passage chez lui pour nous habiller et nous débarbouiller. En sortant de la salle de bain, j'ai trouvé un Éric très séduisant et provocant en tenue de jogging très moulante. Pas difficile de voir qu'il bandait déjà. Je me souviens lui avoir caressé le bas ventre en promesse pour la suite de la journée. Nous savions ou nous allions et Éric aussi.
La raison de l'invitation de mon ancien camarade dans une salle de cinéma propice à toutes les audaces était évidente. Nous nous étions installés au fond dans une petite rangée bien obscure. Une fois la salle plongée dans le noir, il m'avoua avoir pensé à ce moment toute la soirée. J'ai tourné la tête pour lui répondre lui en a profité pour m'embraser. Nos lèvres se sont soudées sans hésitations et nos doigts sont partis en voyage dans les profondeurs de nos pantalons. Éric avait une toute petite bite et une bouche très- très gourmande.
A son contact J'ai ressenti une excitation particulière, je venais de passer un tabou ; j'avais embrassé un garçon. Pris d'une envie irrésistible je l'ai embrassé à pleine bouche, la fouillant de ma langue. Il a répondu à mon baiser avec fougue, sa main s'est posée sur ma cuisse pour remonter vers ma braguette que j'avais déjà ouverte. J'ai ouvert les jambes pour qu'il puisse atteindre facilement mon entrejambe. Tandis que sa main me caressait le sexe et les couilles, que sa langue fusionnait avec la mienne, je glissais ma main dans son jogging.
C'était la première fois que je me lâchais ainsi. Rien à voir avec les masturbations mutuelles entre boys en chaleur. Éric ne portait rien sous son jogging ! Sa main enveloppait mon paquet et il venait déjà de partir le renifler, donnant un petit coup de langue sur mon gland, lorsqu'il me souffla en se redressant : On pourrait rentrer tout de suite, non ?
Une excitation venue du fond de mes tripes m'envahissait, durcissant ma verge. C'était une étape de plus dans mon chemin de la perdition. Le sexe durcit de désir, j'étais déjà debout. Je ne me souviens pas du titre du film mais je me souviens que profitant de l'obscurité de la soirée, Éric ne cessait plus de me passer la main sur les fesses en se collant à moi. Nous avions rejoint l'appartement de ses parents en nous touchant à chaque pas. Nous étions aussi chauds l'un que l'autre..
A peine la porte refermée, Éric me collait au mur en m'embrassant et en défaisant ma chemise. Je glissais mes mains sous son tee-shirt pour lui retirer. Le contact de son jeune torse m'excitait.
Après toutes ces années, entre homme et femme ce soir-là, je cessais de me poser des questions sur mon identité sexuelle. Je désirais Éric, très fort. C'est vrai qu'il était mignon avec ses joues empourprées, sa bite qu'il me collait le ventre, ses doigts qui me pinçaient les tétons.
Pas timide, à genoux maintenant, Il me retirait mon pantalon sortant ma queue raide qu'il a embouché comme si sa vie en dépendait. Lui il avait déjà perdu son jogging me laissant découvrir un corps mince et des fesses toutes mignonnes. Ce soir-là j'ai été le mâle dominant. Éric en était ravi ne cessant de me dire combien il m'aimait. Qu'il aimait mon corps, ma bite et le reste.
Sa petite verge toute lisse était comme un bonbon que je dévorais avec avidité le faisait chanter de plaisir. Ce sentiment de dominer la situation, lui jouant à la demoiselle amoureuse, m'excitait comme pas possible. Je ne crois pas avoir vécu une situation similaire et aussi bandante. Puis il m'embarqua sur son lit pressé de « m'avoir en lui ».
Je me suis mis sur le dos, il s'était installé au-dessus de moi à quatre pattes tête-bêche. Je sentais sa langue humide et chaude remonter le long de ma tige, ses mains caressaient mes couilles, tandis qu'il me massait l'anus avec un doigt. Cela me faisait un effet dingue ! Du bout des dents il me mordillait le gland me faisant sauter en l'air à chaque fois. J'étais excité par un plaisir intense avec ce 69 qui était ma première vraie expérience homo.
Pendant qu'il me léchait, il me présentait un petit cul bien ouvert pour accueillir ma bouche et ma langue curieuse. Fini la timidité. Éric avait clairement envie de se faire faire un câlin sodomite. Il suffisait de voir son anneau culier qui s'ouvrait et se fermait comme un appel à la visite. Je ne me suis pas gêné pour commencer une investigation qui l'a paralysé une seconde avant de la voir venir à la rencontre de mes doigts qui s'enfonçaient dans les profondeurs de mon nouveau complice en baise gays.
Pendant qu'il me suçait, moi j'allais et venais dans un anus visiblement habitué à des visites nocturnes (ou pas !) De son coté, sa langue perverse me faisait toujours sauter en l'air aidé maintenant par un doigt aussi curieux que les miens... Vint le moment où nous en arrivâmes à ce que ce petit vicieux me sodomisait avec ses doigts en me broutant la bite et moi faisant de même avec lui.
Je me souviens qu'à ce moment-là je l'ai entendu me souffler : tu sais je suis toujours très propre... ???? Sur le moment je n'ai pas réagi. J'étais occupé à garder son sexe rigide car, il faut le dire, Éric n'était pas très couillu. Petit modèle qui se serait arrêté à la puberté. Cela avait un coté excitant : on revenait à l'école et un peu frustrant, mon Éric, il n'assurait pas. Que pouvait-il se passer ?
Pas difficile, j'ai attrapé son corps mince et efféminé, je l'ai tournée comme une crêpe et je me suis fait plaisir pendant une bonne heure en me défoulant dans son cul, lui bouffant les tétons, les fesses, la bouche. J'étais partout, Lui apparemment ravit. Moi stupéfait de ma gourmandise envers lui. C'est la d'ailleurs que j'ai compris sa remarque. Il voulait me faire savoir que lui rendre visite par sa porte de service ne me poserait pas de problème. Les lieux étaient bien entretenus !
Éric sentait mon excitation, il gémissait en ondulant des fesses pour enfoncer mon chibre au fond de son cul ? Je lui caressais les couilles et ses fesses rondes pendant qu'il gémissait de plus en plus fort. Je crois que ce sont ses gémissements qui m'ont fait partir. Je me vidais dans son cul en de longues vagues voluptueuses. Son sexe a soudain réagi et un liquide chaud a inondé ma main. Il jouissait lentement, longuement. Mon sexe se contracta une dernière fois. Je sentais son sperme sur mes doigts ?
Je me souviens l'avoir surpris car je me suis tourné afin d'atteindre son sexe humide et j'ai commencé à le sucer. A sucer sa petite bite. A gouter son sperme. Curieux ! A mon tour je le faisais sursauter avec mes suçons. A ce moment-là je me suis dit que j'étais durant quelques minutes reparti dans mes jeux cochons du collège ? La suite du weekend a été une suite de découvertes qui m'ont laissé de bons souvenirs. Apparemment l'histoire a plu à Sophie... j'aurais mieux fait de me taire.
Nous sommes partis à l'aventure son plug anal fermement en place. Le dîner était sympa. Nous avons apprécié la compagnie de chacun et partagé une bouteille de vin. Tout le temps, je n'arrêtais pas de penser qu'une fois rentrés à la maison, ma bite serait profondément enfoncée dans son cul, là où se trouvait ce plug en ce moment. Il était clair dans ses yeux qu'elle pensait la même chose en me regardant. Une fois rentrés à la maison, nous nous sommes dirigés directement vers la chambre.
Le temps qu'il m'ait fallu pour allumer les bougies et allumer la musique de fond, elle était déjà nue dessus le lit. J'ai commenté : "Tu es plutôt impatiente ce soir."
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Tais-toi, déshabille-toi, enlève mon plug et prends-moi par le cul. A mon tour, je me suis déshabillé rapidement la queue déjà en émoi. Elle voulait se faire baiser et se faire enculer et cela m'excitait grave. Mais j'avais déjà mon idée. Je lui ai répondu : OK, mais face à face. Je veux te regarder droit dans les yeux pendant que je te sodomise.
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Bonne idée, ça me va. J'ai pris un des oreillers puis lui est glissé sous les fesses. "Parfait bébé". Un brin pompette tous les deux nous nous sommes d'abord taquinés. Montant sur elle je l'ai chevauchée dans un 69 très profond. Dès que j'ai fait ça, elle avait ma bite dans sa bouche me pratiquant une lèche d'enfer. Je sentais sa langue qui me fouillait les couilles et l'entrejambes et qui, à d'autres moments, tentait de me fourrer ses doigts dans mon rectum.
Bon sang, c'était une vraie salope, mais elle était entièrement à moi. En écartant largement ses jambes, je suis allé directement travailler sur sa chatte. À l'aide de ma langue, j'ai écarté ses lèvres pour atteindre son clitoris. En même temps j'ai commencé à la sodomiser en me servant du plug. Je sentais sous mes doigts que son œillet était prêt à me recevoir. J'en bandais comme un malade mais je voulais la faire jouir une première fois avant de la sodomiser.
Je la savais capable d'absorber des sexes et des sex-toys plutôt conséquents. Trempant trois doigts dans sa crème préférée je les ai glissés dans son cul pendant que je lui mangeais la chatte. Mes doigts à l'intérieur j'ai commencé un lent mouvements de va et viens. Elle a commencé à gémir.
C'était le signe que je devais accélérer le rythme avec ma langue et ma bouche. Quelques coups de langue supplémentaires sur son clitoris, et je me suis mis à le sucer et à la doigter vigoureusement en même temps. Tout son corps s'est tendu, elle m'a giclé au visage et ses fesses se sont serrées autour de mes doigts. Alors que son corps s'effondrait après son premier orgasme, j'ai déplacé ses fesses plus haut pour atteindre son tabernacle que je taquinais avec ma langue. Le moment était venu. En me déplaçant entre ses jambes, je lui ai lubrifié le cul puis ma bite. "Es-tu prête, belle Sodo" demandai-je.
"Putain, que je suis prête petit vicieux, maintenant baise moi comme j'aime et vas-y". Puis en me regardant dans les yeux, elle a dit : "Oui mon amour, je veux que tu me baises dans le cul, face à face, pour voir ton visage pendant que tu me possèdes comme le chien que tu es !
J'ai repoussé ses jambes vers sa poitrine pour me donner un accès complet à son cul. Je savais qu'elle allait apprécier ça autant que moi. En lui collant mon gland sur sa rosette j'ai senti qu'elle était déjà ouverte prête à avaler mon chibre. Elle savait comment faire. Je le sentais. Je lui avais conseillé un soir de faire comme si elle voulait m'expulser afin d'ouvrir son œillet tentateur. Alors j'ai poussé un peu plus. Ma bite commençait à pénétrer dans son cul puis d'un coup je me suis enfoncé en elle d'un seul mouvement puissant.
Elle ferma les yeux et soupira profondément son ventre m'accueillait sans difficultés, ma bite totalement entrée dans son cul. Je me suis arrêté là alors que ses yeux s'ouvraient tout grands. « Mmm » a-t-elle commenté gémissant déjà de plaisir. Je l'ai sentie alors me serrer la verge avec son, rectum pour commencer ce mouvement de massage qui m'affolait : « Mon cochon, ta bite est complètement dans mon cul. Tu es un vrai vicieux, tu sais ? ", Je n'ai rien répondu. Elle la fait pour moi. « On est fait pour s'entendre n'est-ce pas ? »
J'ai commencé à bouger pour continuer à m'enfoncer un peu plus en elle je savais qu'à un moment, je serais dans la position qui la ferait partir dans un orgasme qui la laisserait épuisée et la laisserait toute molle durant des heures. Elle a remonté ses jambes le long de mon torse en m'embrassant passionnément..
Empalée par ma bite elle sentait, et moi avec elle, la montée de son orgasme. Je bougeais doucement en de courts va et viens. Ma tête pleine de ses petits cris de plaisirs. Je n'avais jamais rencontré une femme qui jouissais si fort et de si étrange manière mais je puis affirmer que ça valait le coup. Nos regards vissés l'un à l'autre, je voyais son extase modifier son visage, ses traits de tendre alors que son souffle s'accélérait. Sa bouche s'est ouverte sur un cri qui n'est pas sorti, puis un grondement de sa poitrine contre la mienne et un premier gémissement avec ce cri ; « Je viens, mon chéri, je viens :
Pendant que nous nous embrassions, j'ai légèrement retiré ma bite de son rectum avant de revenir dans la position qui la ferait à nouveau partir. Elle pouvait le faire jusqu'à six fois sans difficultés mais ce soir je voulais voir, profitant de notre position, si on pouvait la faire jouir plus souvent. Je suis revenu brutalement dans ma position en la baisant avec force la laissant pousser un premier hurlement. Puis cela a été un festival de sodomies sauvages mélangés à des moments de tendresse. " Putain de mec tu me défonces, salopard ! C'est vraiment génial ; m'a-t-elle soufflé. Je modifiais savamment mes mouvements avec pour seul problème de ne pas jouir trop tôt.
Elle était là gémissante avec ma bite glissant dans et hors de son cul, ses jambes ouvertes, ses bras enroulés autour de moi pendant que nous nous embrassions passionnément. Elle a joui ainsi plusieurs fois. J'étais si concentré sur l'idée de ne pas jouir moi-même que je n'ai pas réussi à les compter. A la fin elle en pleurait de plaisir. Cela m'avait surpris la première fois, et cela me troublait toujours autant, mais je recevais cela comme une récompense du plaisir que je donnais à ma Sophie.
J'avoue que je n'aurai jamais cru aimer baiser ainsi avec une femme ou un homme (mais ça c'est une autre histoire). Nous avons pris un rythme doux qu'elle appréciait lorsqu'elle se sentait comblé. Elle a réussi finalement à me surprendre, son bras s'est glissé jusqu'à mes fesses puis du bout de ses doigts elle a réussi à me doigter. Tonnerre, c'était trop. Je me suis vidé en elle pendant que nous partions ensemble dans un double gémissement de plaisir partagé durant lequel j'ai senti qu'elle me lâchait un peu d'urine sur les couilles.
Je me suis retiré et nous nous sommes relevés pour partir dans la salle de bain finir un petit rituel qui clôturait régulièrement nos ébats. Sous la douche, elle s'est collée à moi et j'ai senti son urine couler sur mon ventre, sur mon sexe encore gonflé qu'elle nettoyait à sa façon avec un rire coquin. J'ai tenté d'en faire autant sans succès ? Remarquant que ses mains n'étaient pas visibles, j'ai vu qu'elle commençait à jouer avec sa chatte. Alors je me suis baissé. J'ai attrapé ses fesses à deux mains j'ai commencé à lui bouffer le cul encore grand ouvert à cause de la taille de ma bite. Ma langue est entrée plus profondément que jamais. Elle gémissait et tremblait de plaisir alors que je m'attaquais cette fois à sa chatte encore humide de sa miction. « Alors... heureuse ? ».
« Le pied plus intense que je n'ai jamais eu. Je ne pensais pas que l'anal pouvait être aussi bon, mais avec toi, c'est très chaud. C'est bon et tu me mets la tête en feu. Nous en sommes restés là, épuisés ? Grosse douche et dodo.
Sophie prêtresse de la sodomie - III
J'étais épuisé. Pourtant je n'arrivais pas à trouver le sommeil. Je rêvassais sur ce drôle de chemin qui avait fait de moi un amateur de la sodomie. Je repensais à Éric, ce garçon m'avait fait découvrir un aspect secret de ma sexualité avec ses manières efféminées. Nous nous étions reperdus de vue après ce week-end. Je pensais parfois à lui. C'était un sentiment étrange et très fort ou, partenaire dominant, je m'étais senti mâle et viril dans notre relation homosexuelle. Autant Sophie pouvait être exigeante, vicieuse, autant Éric m'avait touché par sa féminité et sa douce perversité. Il m'avait troublé en me faisant fait découvrir sans avoir l'air d'y toucher, un aspect de ma sexualité.
Mon aventure avec Éric était toujours au chaud dans un petit coin de mon cerveau ou vivait un trouble secret qui parfois me faisait grossir le sexe en souvenir de nos ébats. Sophie ne connaissait pas Éric ni mon aventure avec lui. Je devrais dire nos aventures car nous nous sommes revus après des mois de silence. C'est lui qui m'a retrouvé.
Il ne m'a même pas téléphoné. Je me suis retrouvé face à lui une fin d'après-midi qui m'attendait devant la porte cochère de mon immeuble. Il avait fouillé dans les archives de notre groupe du stage pour savoir où je créchais. J'étais surpris et ravi ! Cela faisait un an que nous nous étions quittés.
Sans un mot, je lui ai ouvert et tout aussi silencieusement je l'ai guidé dans mon perchoir au dernier étage. Puis j'ai ouvert la porte. Nous n'avions pas échangé dix mots. Là, je me suis tourné vers lui et nous sommes tombés dans les bras l'un de l'autre.
Nous nous sommes retrouvés dans ma chambre, tout aussi impatients l'un que l'autre. Je l'ai effeuillé doucement en le couvrant de baisers. Notre libido était en feu et nous brulions de profiter l'un de l'autre. Il avait une mignonne petite culotte en dentelle que j'ai mangé à coups de dents et des petits seins dont les tétons attendaient ma bouche fiévreuse. Nous étions nus déjà et sa bouche fouillait mon bas ventre.
Nos retrouvailles étaient à la fois animales et tendres. Éric m'entraînait sur le lit, je lui léchais le visage comme un chien montre son affection à son maitre. Éric en avait les larmes aux yeux. Moi aussi ! Je n'imaginais pas à quel point je serais heureux de le revoir. J'avais envie de lui, de l'avoir à mes côtés. Il me faisait sentir que j'étais son male, son homme. Nous nous embrassions passionnément en frottant notre corps et nos sexes l'un contre l'autre.
Éric était beau. Fin. Des fesses que j'adorais explorer, un ventre plat, totalement imberbe et un sourire à me damner. Je le découvrais légèrement maquiller, plus féminin que jamais. Ses yeux noisette brillant de me savoir à sa merci. A la merci de son charme vénéneux. « Baise moi, baise-moi » ne cessait-il de me souffler à l'oreille. Je m'obligeais à résister à son étrange mantra alors que ma verge me faisait mal de devoir attendre ce moment où je le remplirais de moi.
J'ai cédé enfin alors qu'il me retournait sur le dos avant de descendre doucement s'empaler sur mon sexe puis m'obligeant à ne plus bouger. Son ventre palpitait sur le mien, son petit sexe tendu laissait soudre du sperme alors qu'il se mettait à bouger de façon imperceptible. C'était délicieux, c'était douloureux. J'avais envie de la posséder mais c'est lui qui me tenait.
Sa bouche venait à la rencontre de la mienne et entre deux baisers passionnés, je l'entendais me dire. « Tu l'aimes n'est-ce pas ta petite femme ? Tu aimes sentir ta queue en moi, n'est-ce pas ? Tu sais que tu es un l'homme de ma vie ? »
Son regard pétillait de contentement alors que j'étais bouleversé par ce qu'il m'avouait de ses sentiments. C'était trop, je me suis lâché en de longues éjaculations qui me coupaient les jambes. Éric, lui, restait en pleine forme.
Et toujours à la manœuvre. Je l'ai vu se tourner me mettant son cul sous le nez pendant qu'il s'attaquait de son coté à ma bite encore pleine d'humeurs. Sa tête sur mon sexe je le laissais me sucer gémissant chaque fois qu'il envoyait ses doigts dans mon anus. Il me caressait les couilles, tout en me bouffant le cul, enfonçant sa langue au fond de mon rectum. Je n'étais pas en reste. J'accompagnais ses initiatives en lui rendant la pareille.
J'avais ma langue dans son œillet bien ouvert lorsque je l'ai senti venir. J'ai bougé pour le prendre dans ma bouche. Il a joui longuement à de petits coups. C'est à ce moment-là qu'il m'a vraiment enculé pour la première fois. Ses doigts réunis sont partis finir le travail de sa langue en me sodomisant avec énergie. J'ai cru que sa main -- petite il est vrai -- allait me perforer. Je n'ai pas compris immédiatement ce qui m'arrivait, mais je me suis mis à jouir alors que je ne bandais pas. Ma prostate réagissait à la pénétration de mon amant.
Encore sous le choc, j'écartais mes jambes pour mieux le sentir investir mon ventre tout en continuant à sentir mon bas ventre en révolution. La stupeur passée nous rigolions de cette divine surprise. Cette fois j'étais naze ! Nous avons passé un bref instant aux toilettes avant de nous écrouler dans les bras l'un de l'autre.
Je me souviens lui avoir longuement caressé les fesses avant de lui lécher sa petite rondelle puis je pointais mon sexe contre son petit trou. De sa main droite, il réussissait à attraper mon sexe encore dur pour le faire rentrer entre ses fesses. J'étais euphorique par cette sensation que j'éprouvais à ce moment-là. Lentement, je l'ai pénétré. J'entrais en lui calmement sans précipitation, je l'entendais gémir légèrement. Je prenais mon temps, tout mon temps. Je voulais lui faire prendre son plaisir. Plaisir attendu depuis si longtemps. Je savourais également cette sodomie amoureuse. Avec Sophie j'en avais appris tous les artifices.
Éric s'habituait à mon sexe, et lentement, je reprenais un mouvement de va-et-vient en lui. C'était bon, trop bon pour moi, de sodomiser mon copain Éric. Mais c'était également bon pour lui. Il gémissait de plaisir, il me demandait d'aller de plus en plus vite, et je gémissais à mon tour, je me sentais bien en lui. Pendant vingt bonnes minutes, je lui faisais l'amour avant de jouir en lui. Malgré ses demandes, je savourais ce plaisir d'être au plus profond de mon amant. Car c'était bien cela qu'il m'arrivait. Éric devenait mon amant, mon régulier.
J'avais à peine le temps de jouir en lui qu'il s'écroulait à côté de moi, et nous nous embrassions chaleureusement. Éric était heureux, nous étions l'un et l'autre très heureux d'avoir enfin osé passer ce pas. Je nous sentais comblés.
Nous nous étions endormis, bras dans les bras, rassasiés par cet instant magique et libérateur. Le lendemain matin, Éric m'avait demandé de renouveler l'expérience en voulant être pris de manière plus virile et violente. Et, puis, après ce moment particulier pour moi, de retour chez moi en Normandie, j'avais beaucoup culpabilisé, sur cette relation particulière.
Éric me faisait comprendre qu'il souhaitait plus. Il me regardait tendrement, mais personnellement, je n'étais pas encore prêt mentalement à transformer notre relation en une liaison régulière. J'en avais très envie, mais j'avais comme une sorte de blocage inexplicable.
Éric brulait d'envie de me voir devenir son amant, mais il n'insistait pas. Je comprenais ses envies et sa demande, et finalement j'ai pris bêtement la décision de ne plus jamais le revoir, avant tout par manque de courage, ne voulant pas m'avouer ma bisexualité à l'époque. Sophie me suffisait. A l'époque !
[1] Voir « Pourquoi Sophie n'a pas porté plainte «